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Dienstag, 27. Dezember 2016

Ce que nous pouvons apprendre de modèles surdoués. Ou: Comment un vieux roi peut nous motiver encore aujourd'hui





Lilli Cremer-Altgeld

Mon examen réussi, je me mis rapidement à l'ouvrage comme directrice de séminaires. Quelques mois auparavant j'avais été membre d'une équipe  qui interwiewait "l'élite*)" allemande pour une université allemande. C'est là que j'appris comment et pourquoi les personnes atteignent leurs objectifs comme prévu. J'intégrai maintenant ces informations dans mes séminaires.

D'une certaine manière je me réjouissais de diriger ces seminaires. Mon idée: les participants des séminaires seraient hautement satisfaits d'apprendre de première main comment agir pour réussir et avoir du succès. À quels rouages tourner - ce qu'il valait mieux ne pas faire - et ce qui était important pour atteindre l'objectif souhaité.

Je pensais: les participants se mettront bien vite à l'ouvrage et sonderont à quoi pourrait ressembler leur chemin personnel vers le succès. Et ils commenceront eux aussi à se rejouir de ce qui les attend.

Je fus sans aucun doute trés naïve.

Car quel en fut l'écho?

Peu jusqu'à pas d'intérêt pour la réussite personnelle.

Comment pouvait-il en être ainsi?

Ma première pensée: C'est peut-être à cause de moi?

Je dois tout simplement encore mieux communiquer ces "secrets du succès, de la réussite"!

Pour cela le contrat d'un groupe américain vint bien à propos: j'avais la tâche d'interroger les employés sur le sujet "succès et réussite".

Aprés avoir terminé cette étude j'étais tout-à-fait certaine: les gens ont peur de ce que nous appelons succès et réussite.

Peur du succès qu'ils veulent tous (?) à tout prix?

Peur de la réussite personnelle? Voire donc peur de la réalisation des souhaits et des rêves personnels?

Certes, il y avait bien là ces meneurs, ces animaux de tête, qui pouvaient d'une certaine manière s'imaginer d'être heureux. Il existait pour eux ce tableau: "Mon objectif, c'est d'avoir une villa au bord du Lac Tegern, de pouvoir laisser promener mon regard sur la vallée à partir de ma terrasse et de prendre plaisir à ma Ferrari (qu'elle soit noire ou rouge, peu importe). Je serai alors coach et écrirai des livres."

Pourquoi coach?

Je suis moi-même coach, maintenant depuis plus de vingt ans. Une belle profession. Ce n'est par contre pas une profession qui tombe sous les impôts sur les diverstissement.

Non. Pas un seul d'entre eux ne devint coach. Pas de villa, pas de Lac Tegern, pas de Ferrari. Et, parmi les personnes que j'avais interrogées, il s'agissait là déjà de celle avec le plus grand succès dans la vie.

Les autres membres de cette étude avouèrent sans ambages: J'AI PEUR!!

Peur de ne pas être à la hauteur de la tâche. Peur de ne pas reconnaître le chemin. Peur de perdre les contacts sociaux. Peur des envies et de la jalousie des autres. Peur de soi-même.

On peut vaincre la peur. Mais les gens avaient peur de cela aussi.

Je reçus une deuxième chance, celle de pouvoir travailler à une étude sur l'élite. Cette fois-ci j'eu même la possibilité de lire toutes les interviews. Et je remarquai qu'il y avait une différence entre ce que "l'élite" raconte à la presse - et ce que peuvent apprendre les scientifiques. J'appris que la peur règnait aussi chez ces personnes. Mais j'appris aussi qu'il existait des réseaux. Des réseaux de véritables amitiés qu'elles avaient noués avec art et endurance. J'appris finalement que c'était ces réseaux qui les recueillaient à chaque fois qu'une grosse tempête s'annonçait.

Ces personnes n'en voyaient pas moins de toutes les couleurs dans leur vie que d'autres personnes aussi. Mais elles avaient le réseau qui les recueillait. Ces gens avaient investi beaucoup de temps, d'amour et d'estime dans ce réseau. Non pas avec calcul, non pas avec stratégie - bien que peut-être que si - mais avant tout, parce que c'était le véritable souhait de cette élite, de voir et de cultiver le bon côté de l'homme... c'est pour cela qu'elle nouait toujours et toujours ces réseaux.

Avec leur culture d'encouragement et de revendiquation, ces réseaux étaient très demandés, ne réussissaient-ils pas à établir un clima de bienveillance et  de bienvenue. Bien qu'il ne sagissait pas d'un club secret et bien qu'ils ne semblaient pas y exister de statuts, tout le monde voulait en faire partie aussitôt en avoir entendu parler. Le principe de ces réseaux était très simple: c'était une association de valeurs morales identiques où l'on vivait la solidarité, le respect, l'estime, la coopération et le fait d'être là les uns pour les autres.

Le sentiment de respect et de bienveillance mutuels s'avérait avoir un effet contagieux. Ainsi que l'engagement de voir en l'autre ses bons côtés et de parler en termes élogieux des ses dons. Pour le cas où ces personnes devaient critiquer, elles le faisaient certes d'une façon appropriée, mais encore avec charme, sans être blessantes. Elles ne penseraient sans doutes en aucun moment à se rendre  plus importantes au détriment des autres. Pour la plupart elles semblaient avoir une attitude courageuse et une vue optimiste sur le monde. Et de prendre leur père, leur mère ou d'autres membres de la famille comme modèles pour trouver la force nécessaire pour venir à bout des défits à relever. Mais aussi des philosophes, des poêtes, des musiciens, des inventeurs ou des explorateurs, et particulièrement souvent, des politiciens servaient d'idéaux à suivre. C'étaient rarement des femmes. Les femmes exceptionnelles qui ont été choisies comme modèles, étaient la tsarine russe, ainsi que Elisabeth I, la Reine d'Angleterre.

Le président d'une grande association m'expliqua qu'il se positionnait au bout de chaque jour devant le tableau de son idéal et lui demandait s'il était satifsait de lui. Parfois ces conversations muettes ne duraient que quelques instants. D'autres fois il prenait place à proximité et cherchait à élucider ce qu'il pensait avoir entendu ou ressenti. C'est avec fierté qu'il me montra son idéal: Frédéric II, donc Frédéric le Grand, appelé aussi "der Alte Fritz".

Un politicien est entouré d'innombrables photographies dans son cabinet de travail, qui le montrent avec des personnalités, qui l'ont accompagné un bout de son chemin, des compagnons de route. Dans des moments de doutes, d'incertitude ou d'une faiblesse passagère, il regarde à la ronde et réfléchit à ce que l'une ou l'autre des personnes sur ces photos feraient bien à sa place. Ce politicien pense se sentir plus fort et plus sûr après ces moments de recueil et d'entretiens mentaux.

Le politicien le plus connu avec lequel j'ai parlé avait des idéaux absolument différents: ses voisins. Tous ses voisins. Il dit: si un jour je me retire de la politique , je voudrais que chacun de mes voisins veuille encore me saluer avec plaisir. C'est pourquoi il réfléchit toujours et toujours sur son travail et se demande s'il recevrait encore la bienveillance de ses voisins.

Ces personnes qui se trouvent à la tête de notre société mentionnent bien souvent une pensée, un dicton de Goethe. Elles remarquent également être influencées par l'idéologie de Goethe. Et que c'est justement ce dicton qui a imprégné leur vie: "Noble soit l'homme, serviable et bon".

Peut-on maintenant résumer cela dans la simple formule: Qui est bon (envers soi et) envers les autres personnes - sera recompensé par la vie? Chez les "élites" qui ont été interrogées ici, j'ai pu noté cette tendance.

Il existait toutefois d'autres raisons à côté des "réseaux" (de VÉRITABLES AMITIÉS!), des idéaux, des modèles et l'estime mutuelle.

Celà dépendait avant tout de la façon dont on se voyait soi-même, et aussi de la façon dont on se developpait. Il est clair pour tout le monde que chaque (!) être humain a des dons particuliers. Qu'il faut les découvrir, également.

Il existait ces réflexions que l'on a aussi attribuées à Goethe: "Nos souhaits et nos voeux sont les pressentiments des compétences qui reposent en nous, les signes avant-coureurs de ce que nous sommes capables de devenir. Ce dont nous sommes capables et ce que nous voulons, notre imagination se le représente an dehors de nous et dans le futur. Nous ressentons une nostalgie de ce que nous possédons déjà en nous. Et c'est ainsi qu'une imagination passionnée transforme notre  potentiel véritable en la réalité de nos rêves."

Tous les participants étaient certes conscients qu'il ne s'agissait pas uniquement de se représenter l'avenir de ses rêves, mais qu'il fallait élaborer cet avenir avec du travail, de la discipline et de la concentration. Et ils ont tous accepté cette condition sine-qua-non pour eux.

Je ai remarqué encore une autre chose. Toutes ces personnes avaient en commun une affinité plus ou moins grande pour Marc Aurèle. Ou pour l'un des autres philosophes de la Stoa. Ce n'est pas pour rien que la Stoa est considérée comme le guide des élites dans la région anglo-saxonne. Ce n'est pas pour rien que l'on dit que cette philosophie mène au bonheur. On le soupçonne déjà lorque l'on lit le dicton de Marc Aurèle: "Être heureux signifie avoir bon caractère" (Introspection VII).

Quand les gens ne réussissent pas dans leur vie, c'est vouvent dû au fait qu'ils ont des peurs, des craintes. Peur d'un avenir incertain. Peur d'autres personnes. Peur d'eux mêmes. Et aussi, qu'ils ont l'impression d'être dominés par ces craintes et que rien ne peut y changer quoi que ce soit.

Toutes les personnes ont des craintes. Les unes sont prises au piège de ces craintes - les autres cherchent et trouvent une issue, et vainquent la peur.

Il est donc question de s'exposer à cette peur.

Ce que beaucoup de personnes ne connaissent que peu: On peut de nos jours vaincre la peur sans thérapie et sans coaching. Celui qui se concentre sur un avenir sans crainte, aura ses oreilles et ses yeux bien ouverts - et reconnaîtra ainsi ce qui lui est serviable pour le moment. Cela exige du courage de se dire: j'ai peur, mais je vais lutter et vaincre cette peur. Car: je suis digne de le faire. Et je vais me le promettre!

Celui qui peut se libérer de sa peur, sera libre de découvrir son objectif et son chemin. Cela ne se fera peut-être pas du jour au lendemain. Mais cela se fera.

J'ai bien souvent vu que des personnes qui s'étaient déjà abandonnées, retrouvaient leur chemin dans la vie. Des personnes très malades. Des personnes issues d'une famille désolante. Des personnes qui n'ont pas été encouragées mais dont on avait abusé. Des personnes qui ne sont pas nées du bon côté de la vie.

J'ai vu que chacun pouvait retrouver le côté ensoleillé de la vie. J'ai connu une femme handicapée qui avait déjà été abandonnée par ses deux médecins - j'ai parlé personnellement avec chacun d'eux; l'un m'a dit qu'elle ne survivrait peut-être même plus la nuit - et deux jours plus tard elle se retrouvait dans un avion à destination des vacances. Et quelques semaines plus tard elle pouvait à nouveau marcher à l'aide d'une canne. Plus tard encore, même sans cette canne. Lorsque j'eu notion qu'une médecin de l'hôpital où il se trouvait, avait "abandonné" mon père: "Votre père peut mourir d'un moment `l'autre", je ai commencé à lutter. Mon père survit - et grâce à une homéopathe il vécut encore 7 ans, tout-à-fait bien, heureux et plein d'entrain. Il est important de garder oreilles, yeux et coeur ouverts et de développer la force de croire à des visions et des objectifs - peu importe de ce qu'en disent les autres.

Je suis persuadée que chacun vaut la peine de trouver ce soleil, cette force en lui. Le premier pas: estimez-vous vous-même! Celui qui s'estime soi-même, sera estimé par les autres. Celui qui s'aime soi-même, sera aimé par les autres également. Suivre son intuition est le pas suivant.

Il est bon, sans doute, d'avoir de la patience. Zèle et discipline sont des caractéristiques utiles également. Mais avant tout: cherchez le véritable objectif avec beaucoup d'amour et écoutez les signes du coeur et de l'intuition. Recueillez-vous et faites une pause aussi. Peut-être reculerez-vous même d'un pas et retrouverez-vous le calme. Réfléchissez encore une fois à l'objectif et au chemin à suivre et ressentez: qu'est-ce qui me motive? Quelle est la vision qui met vraiment le feu à mon coeur et fait brûler mes oreilles? Puis lâchez le tout et laissez les choses se faire. Laissez les choses se faire, afin que le chemin à suivre se dessine tout seul, sans pression et tout simplement. Et bien souvent cela se passera comme sur des roulettes.

Je croise les doigts!

(c) Lilli Cremer-Altgeld, 2016

*) Personnes qui sont considérées comme des modèles dans notre société vu leurs performances: des personnes choisies par l'université dans les domaines des sciences, des recherches, des technologies, des arts, de la politique, de l'économie, des médias, des sports. Pourquoi vois-je en ces personnes des personnes surdouées? Il va de soi qu'elles n'ont pas commencé par me montrer leur carte de membre du club des surdoués, MENSA. Mais elles m'ont toutes raconté leur vie. Et c'est ainsi que j'ai pu reconnaître de très grandes ressemblances avec les attitudes et les comportements des surdoués, comme par exemple l'encouragement et le support par certaines organisations, pour lesquelles il faut disposer d'un certain QI pour en devenir membre, ou comme le cas de celui qui a fait son doctorat en physique avec le degré "summe cum laude", ou comme cette femme qui parlait huit langues.

Traduit de l'allemand par André Leyens.

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Was die anderen Hochbegabten anders machen – ein Beispiel aus der Wirtschaft für die Politik


Foto: Ralf Voigt


Man erkennt sie.

Es sind die kleinen Einsteins, die Picassos und die Mozarts. Sie lesen schon mit sechs Jahren „The New York Times“, korrespondieren mit fünf Jahren in Mandarin und spielen mit vier Jahren die Spatzenmesse in C-Dur. Später studieren sie dann bereits mit 14 an einer Uni und werden jüngster Professor oder jüngste Professorin.

Man kennt sie.

Dann gibt es noch die anderen.

Ihre Begabung ist nicht so offensichtlich. Oder: offensichtlich nur für Eingeweihte. Für Kennerinnen und Kenner. Wahrscheinlich stehen sie nicht in einem Labor. Ob sie mit dem Pinsel umgehen können? Seien Sie tapfer: Wohl eher nicht so. Ob sie eine Stradivari zu schätzen wissen? Hm.

Und doch haben sie ihre Begabung. Erkennbar wie gesagt fast nur für Eingeweihte.

Ein Beispiel: Ich war Mitglied in einem Verband, der das Wort „Wirtschaft“ in seinem Namen trägt. Es ging um ein Thema, das alle Menschen bewegt. Wirklich alle. Wirklich jeden. Es ging um Politik. Und um den Anlauf zu einem neuen Gesetz. Man diskutierte. Und fragte sich, wie man denn überzeugend argumentieren könnte.

Ich erwähnte den Gedanken einer Befragung. Sie kennen das: In jeder grösseren Stadt stehen diese Interviewer auf der grossen Einkaufsstrasse und wollen wissen, welche Zahnpasta, welches Waschmittel, welche Automarke Sie bevorzugen. Strasseninterviews nennen wir das. Wir, das sind meine Kolleg*innen aus der Marktforschung und ich. Ich hatte damals ein Institut für Markt- und Kommunikationsforschung. Unsere Klienten aus der Politik und Wirtschaft waren bekannt und angesehen und wir waren stolz darauf, für sie forschen zu dürfen.

In meinem Verband war das bekannt.

Ja. Sagte man: Eine Befragung auf der Strasse ist ein überzeugendes Argument. Wir – wer auch immer „wir“ sein sollte – wir stellen uns auf die Strasse und befragen die Menschen. Und dann geben wir – und das war der Sinn der Sache – das Ergebnis an den OB der Stadt. Einer von meinen Kollegen im Verband meinte dann: Ob wir wohl 50 Menschen dazu bewegen können, mit uns zu reden?

Wie, sagte ich: 50 Menschen?

Ja. Sagten die anderen. 50 Menschen wäre eine tolle Sache.

Klar sind 50 Menschen eine tolle Sache. Aber: Wie wollen wir einen OB mit den Stimmen von 50 Menschen motivieren, ein neues Gesetz in Gang zu bringen? Nach einer halben Stunde hatte man sich auf 100 Menschen geeinigt. Mit dem Zusatz: Ob wir das wohl schaffen werden?

Warum so zaghaft?

Die Jungs und Mädels, die hier zusammen sassen, waren die Menschen, die täglich über Millionen entschieden. Ihre Denkweisen waren nicht 100 oder 1.000. Es waren 1.000.000 und mehr!

Mir war klar, dass ich meine lieben Kolleginnen und Kollegen jetzt schockieren musste. Nicht weil ich Schocks mag – aber ich musste ihnen schon sagen, wie so etwas in der Realität funktioniert. Dass man an den verantwortlichen Stellen – sorry – 100 Menschen als Beweis nicht gelten lassen wird. Man wird schmunzeln und zur Tagesordnung übergehen.

Noch bevor ich den Gedanken: „Wie sag‘ ich es das denn jetzt?“ zu einem Satz modellieren konnte, war es raus:

1.000 INTERVIEWS!
1.000 Interviews?

Das Entsetzen war gross. Nur unser Präsident war begeistert. Und dann ging das los, was zumeist los geht, wenn ein Hochbegabter – eine Hochbegabte – eine Idee und einen Weg vor Augen hat: GEHT NICHT! FUNKTIONIERT NICHT! SCHAFFEN WIR NICHT! WIR SIND DOCH NICHT VERRÜCKT! WER SOLL DAS DENN ALLES ZAHLEN?

Ich hörte mir das eine Stunde an, während ich das Konzept schrieb, die Umsetzung des Konzepts plante und einen Entwurf für den Fragebogen entwarf. Unser Präsident hatte mich aus den Augenwinkeln beobachtet und rief mich auf – nach vorne zu kommen und die Einzelheiten zu präsentieren. Gesagt. Getan.
Wir fanden über 50 Mitglieder aus dem Wirtschafts-Verband, die mitmachten. Manager*innen, die ich mit meinem Team für diesen Einsatz schulte. Es waren wohl die Interviewer*innen mit den höchsten Stundenlöhnen, die hier und heute ehrenamtlich auf die Strasse gingen und sehr mutig die Menschen nach ihrer Meinung befragten.

Um Mitternacht hatten wir 1.037 Interviews geschafft. Alle von meinen Forscherkollegen und mir kontrolliert. Alle perfekt. Es war ein harter Job – aber selten habe ich ein Team von fast 100 „Mitarbeiter*innen“ so begeistert arbeiten gesehen.

Am nächsten Morgen wurde noch einmal kontrolliert. Und dann gingen die Fragebögen ins Rechenzentrum zur Uni. Ich schrieb dazu einen Bericht für die Präsentation. Mein Team zeigte einen bewundernswerten Einsatz. Und so konnte ich meiner Assistentin auch nicht die Bitte abschlagen, die Ergebnisse beim OB präsentieren zu dürfen.

Der OB schien sehr zufrieden. Und so wanderten unsere Ergebnisse weiter „nach oben“. Und so wurde aus unserer Idee der Beweis, dass die Menschen diese Verbesserung ihres Alltags wirklich wollten.

Schliesslich wurde aus dem Beweis ein Gesetz in Deutschland, das jedem Menschen den Alltag etwas besser macht. Zur Freude der Menschen.
Nein, so faszinierend wie ein Picasso ist dieses Gesetz nicht.

Aber es erleichtert seitdem allen Menschen ihr Leben. Und das Tag für Tag in Deutschland.

Wenn Sie Unternehmer*in sind: Gründen Sie einen Think Tank mit Ihren Hochbegabten und allen, die mutig sind und gross denken und handeln können. Dann sind Sie nicht nur Ihre Probleme los. Sie haben auch die Chance, die Welt ein bisschen besser machen zu können.

Was sagte John F. Kennedy in seiner Antrittsrede am 20. Januar 1961 in Washington, D.C.:

„Fragt nicht, was euer Land für euch tun kann - fragt, was ihr für euer Land tun könnt (…) fragt, was wir gemeinsam tun können für die Freiheit des Menschen.“ [1]

Lilli Cremer-Altgeld
Mobil 0049 1575 5167 001





Meine persönliche Einführung in die Hochbegabung

Wenn Sie sich die Frage stellen: „Wie finde ich heraus, ob ich hochbegabt bin?“ – dann werden Sie hier Antworten finden. Ich habe die Informationen davon abhängig gemacht, wie gesichert Sie wissen wollen, ob Sie hochbegabt sind. Deshalb meine Frage an Sie: „Wie GESICHERT wollen Sie wissen, ob Sie hochbegabt sind?“

Meine Antworten lassen sich in drei Kategorien einteilen:

Sicherheitsstufe 1: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“ – hier können Sie mal schnuppern, wie Hochbegabte so ticken.

Sicherheitsstufe 2: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“ – hier bekommen Sie Tipps, was Sie tun können, um herauszufinden, ob Sie tendenziell hochbegabt sind.

Sicherheitsstufe 3: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“ – Adressen. Hier können Sie sich zum IQ-Test anmelden. Das Ergebnis des IQ-Test sagt Ihnen, wie hoch Ihr IQ ist. Ist er über 130 Punkte, sind Sie hochbegabt. Über 145 Punkte sind Sie höchstbegabt.

Aber was ist überhaupt Hochbegabung?

Die Antwort ist einfach. Treffend hat sie einmal der Psychologe Dr. Jürgen vom Scheidt so beantwortet: „Es ist das intellektuelle Potenzial von jemandem, der in einem der gängigen und anerkannten Intelligenztest einen IQ-Wert von 130 Punkten und mehr erzielt. Dies betrifft, streng genommen, 2,27 Prozent der Bevölkerung.“ http://www.hyperwriting.de/loader.php?pid=276 Stand: 20.09.2015

Und was ist HÖCHSTBEGABUNG?

Ganz einfach. Dr. Sylvia Zinser schreibt: „Ist der IQ über 145 so spricht man von Höchstbegabung.“ http://zinser.no-ip.info/~szinser/gifted/faqhg.htmlx Stand: 19.09.2015

Allen Hochbegabten und Höchstbegabten empfehle ich das informative, spannende und vergnügliche „Sylvia Zinser's Sammelsurium“ http://zinser.no-ip.info/~szinser/ Stand: 19.09.2015 Hier erfahren Sie nicht nur etwas über den IQ, sondern auch über „Brot, Schwaebische Traeubleskuchen sowie über diverse Weihnachtsplätzchen“ http://zinser.no-ip.info/~szinser/backen.htmlx Stand: 19.09.2015

Sicherheitsstufe 1: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“

Man sagt oft von Hochbegabten: „Die haben eine 1 (Bestnote) in Mathe – können aber ihre Schuhe nicht richtig zubinden“. Soll heissen: das Denken funktioniert (in bestimmten Bereichen) ausgezeichnet – aber im Alltäglichen kommen sie mit bestimmten Situationen nicht gut zurecht. Nach meinen Erfahrungen ist diese Aussage für einige Hochbegabte wirklich sehr zutreffend – für andere weniger bis gar nicht.

Ich kenne das aus eigener Erfahrung. Bei meinem Mathelehrer hatte ich so gut wie immer eine 1. Allerdings hatte ich auch eine Mathelehrerin. Sie war eher der Typ „Geschichtenerzählerin“. Sie sprach gerne über ihre Lieblingsrezepte, ihre Backkunst und ihren Hund. Ich war so damit beschäftigt, herauszufinden, was das mit Arithmetik zu tun hatte, dass ich ihr, wenn es denn mal was zu rechnen gab, kaum noch folgen konnte.

Meine Noten in Mathe lagen bei ihr im Mittelfeld. Und ich war richtig dankbar als der in meinen Augen „richtige“ Lehrer kam. Der mir Mathe so erklärte, dass ich es verstanden habe. Ich machte Überstunden in Mathe und liess mir extra Hausaufgaben geben. Nein, ich war keine Streberin. Ich hatte einfach Spass an Problemlösungen. Aber wenn ich meine Strickjacke zuknöpfen sollte – da gab es Stress für mich. Jedenfalls dieser Lehrer schickte mich zum Schulpsychologen, der mich positiv auf Hochbegabung testete. Da er sagte: „Du darfst mit niemandem darüber reden, dass Du diesen IQ von … hast.“ – dachte ich: vielleicht ist es eine Krankheit oder sonst wie ansteckend. Ich habe nie darüber gesprochen. Erst vor gut zehn Jahren habe ich mich in meiner Familie geoutet.

Meine Kollegin Alexandra in unserem Markt- und Sozialforschungs-Institut war da ähnlich unterschiedlich in ihrer Mathe-Begabung. Obwohl sie ein echtes Mathe-Genie ist, gab es auch für sie Grauzonen. Normalerweise hörte sie von einer Aufgabe oder schaute auf das Papier. Und schwupp – schon hatte sie die Lösung. Manchmal trat sie einen Wettstreit mit unserem Computer an. Nicht immer war unser PC der Gewinner. Doch dann gab es für sie echte Herausforderungen: Wenn sie ohne Hilfsmittel Prozent rechnen sollte, versagte sie fast jedes Mal. Nicht mal 10 Prozent von 100 konnte sie richtig errechnen. Allein bei dem Wort „Prozentrechnen“ driftete sie immer ab. Im Laufe der Zeit wurde es allerdings besser.

Ich will damit sagen: Nicht alle Hochbegabte sind Mathe-Genies. Nicht alle Mathe-Genies sind fehlerlos. Tröstlich ist, was Albert Einstein einmal über Mathe gesagt hat: „Mach' dir keine Sorgen wegen deiner Schwierigkeiten mit der Mathematik. Ich kann dir versichern, dass meine noch größer sind.“

Mit anderen Worten: Nicht jeder Hochbegabte glänzt in Mathe. Eine Klientin von mir war die Vorgesetzte der ehemaligen Lehrerin eines Fußballnationalspielers (Weltmeister!). Er hatte wenig Interesse an Zahlen und sagte bereits in jungen Jahren zu der Lehrerin: „Warum soll ich Rechnen lernen? Ich werde mal ein berühmter Fußballspieler. Und dann kann ich mir so viele Rechenkünstler leisten wie will.“ Die Lehrerin staunte. Doch der Junge hatte Recht. Er ist hochbegabt UND hochsensitiv.

Hochbegabte können sehr gut oder gut rechnen – oder auch gar nicht. Was sind nun die die typischen Eigenschaften von Hochbegabten?

Gehen wir noch einen Schritt zurück. Genauso wie nicht alle Kölner lustig sind, nicht alle Münchner Lederhosen tragen und nicht alle Hamburger einen Segelschein haben – so sind auch nicht alle überdurchschnittlich intelligenten Menschen so oder so.

Nehmen wir einmal eine Einteilung der Hochbegabten vor, die Jürgen vom Scheidt heraus gearbeitet hat. Er unterteilt fünf (drei plus zwei) Gruppen. Selbstredend gibt es noch andere Kategorien – dazu komme ich noch.

Scheidt zufolge gibt es – vereinfacht ausgedrückt – bei den Hochbegabten, abhängig von dem Kriterium „Erfolg in der Schule, im Beruf“ folgende Trias:

O Ein Drittel, die ihre „Begabung erfolgreich verwirklicht“ haben. Sie sind Topmanager/innen, Spitzensportler/innen, Unternehmer/innen, Künstler/innen, Wissenschaftler/innen usw. Sie wurden z.B. von der „Studienstiftung des Deutschen Volkes“ oder anderen Institutionen erkannt und gefördert.

O Ein Drittel sind sogenannte „Latente“: Sie spüren, ahnen oder wissen um ihre Begabung, kommen aber nicht so einfach aus dem Quark. Die Psychologin und Expertin für Hochbegabung, Andrea Brackmann, schreibt in ihrem zweiten Buch, dass „Hochbegabung Mut erfordere“ http://www.klett-cotta.de/buch/Klett-Cotta_Leben!/Ganz_normal_hochbegabt/13265 Stand: 19.09.2015. Bei dieser Gruppe verstehen wir, warum das so ist.

O Ein Drittel sind nach Scheidt die „Underachiever“ („Minderleister“). Sie könnten schon – wollen aber (noch?) nicht erfolgreich sein. Speziell zu Minderleister/innen in der Schule noch einmal Sylvia Zinser: Ihr Geheimtipp J: MOTIVIEREN! http://zinser.no-ip.info/~szinser/gifted/faqhg.htmlx Stand: 19.09.2015

So, das sind unsere drei Gruppen – zwei kleine Gruppen fehlen noch:

O Es sind die „Entgleisten“: sie sind erfolgreich – aber auf kriminelle oder soziopathische Weise.

O Dies sind die Höchstbegabten wie etwa Einstein und Freud.

Alle Infos zu dieser Einteilung in der Veröffentlichung von Jürgen vom Scheidt: http://www.hyperwriting.de/loader.php?pid=276 Stand: 19.09.2015

Wer bis hierher tapfer durchgehalten hat – wird jetzt belohnt. Jeder Mensch, der denkt: Analyse? Mathe? Logik? Das sind jetzt nicht so meine Stärken. Ich bin eher der Musiker, die Malerin, der Tänzer, die Fotografin, der Praktiker. Gut so. Es gibt insgesamt sieben Felder der Hochbegabung: mein Bruder Helmut glänzt z.B. durch „Praktische Intelligenz“: Er erkennt sofort im realen Leben wie man es richtig zumindest aber besser machen kann. Mir bleibt diese Art zu denken verborgen. Zumindest müsste ich viele Bücher lesen, um diese Dinge verstehen zu können. Mir fällt es schon schwer genug, meine Jacke richtig zuzuknöpfen.

Prof. Werner Stangl zitiert Prof. Kurt Heller auf seinen Seiten zu den Themen „Intelligenz und Hochbegabung“ wie folgt:

„Nach Heller (2000) gibt es folgende Begabungsfaktoren:

O Intellektuelle Fähigkeiten (sprachliche, mathematische, technisch-konstruktive, abstrakte, begrifflich-logische, etc. Fähigkeiten)

O Sozial-emotionale Fähigkeiten

O Musisch-künstlerische Fähigkeiten

O Musikalische Fähigkeiten

O Kreativität (sprachliche, mathematische, technische, gestalterische, etc. Kreativität)

O Psychomotorische Fähigkeiten (Sport, Tanz, etc.)

O Praktische Intelligenz“

http://www.stangl-taller.at/TESTEXPERIMENT/testintelligenzhochbegabt.html Stand: 19.09.2015

Wir sehen: Hochbegabung ist spannend. Und es wird noch spannender.

Nehmen wir noch eine weitere Differenzierung vor: Hochbegabte sind oft auch hochsensibel und/oder hochsensitiv. Ihre Sinne sind stärker ausgeprägt. Zum einen (hochsensibel) sind ihre normalen Sinne (hören, riechen, schmecken, fühlen, sehen) intensiver (Künstler/innen, Star-Köch/innen, Parfümeur/innen – einige haben auch ein begnadetes „Fingerspitzengefühl“ wie etwa Handerker/innen und Chirurg/innen u.a.m.). Und/oder andererseits ist ihre Wahrnehmung (hochsensitiv) tiefer: Diese Hochbegabten haben den sechsten (hellhörig), siebten (hellfühlig) und achten (hellsichtig) Sinn wie etwa Goethe, Einstein und Leonardo da Vinci. Wie sagte Albert Einstein?: „Was wirklich zählt, ist Intuition.“

Bei einer solchen Differenzierung: Wo gibt es da noch Gemeinsamkeiten?

Ich fange mal mit den Tendenzen an: Diejenigen, die in der ‚Flüchtlingszeit im Sommer 2015‘ kreativ, beherzt und schnell helfen – können hochbegabt sein. Denn diese Merkmale findet man oft unter den hohen IQ’lern. Der eine organisiert geschickt, die andere übersetzt, der nächste weiss, wer wo wie helfen kann. Schnelligkeit ist für Hochbegabte so natürlich wie das Atmen. Klar, dass nicht jede/r in allen Bereichen gleich schnell ist. Wenn Sie wüssten, wie lange ich brauche, um meine Jacke zuzuknöpfen …

Doch weiter: Gerechtigkeit für jedermann ist stark vorhanden bei den Begabten ebenso so wie vernetztes Denken und Handeln. Nach Andrea Brackmann gehört das „Mehr von allem“ oft zum Repertoire. Wie etwa das „Erfassen kompletter Zusammenhänge“, „Auffinden vielfältiger Lösungswege“ sowie „hohes Einfühlungsvermögen“. Wie gut, dass Hochbegabte oft nur wenig Schlaf brauchen (4 bis 6 Stunden).

Selbstredend gibt es nicht nur diese sonnigen Seiten der hochtalentierten Menschen. Ihre Schattenseiten sind nicht nur für die Beteiligten selbst unangenehm: Oftmals übersteigerte Konzentration bei den SPEZIALISTEN auf ein Spezialthema (Musik oder Sport oder Politik oder Finanzen oder Sprachen oder oder oder). Bei den Generalisten ist es etwas anders: Hier überwiegt die Vielseitigkeit, die sich in mehreren Berufen und Hobbies zeigt. Bei beiden wird die Familie, werden Freund/innen und Kolleg/innen schon mal etwas vernachlässigt. Denn Hochbegabte sind oft Perfektionist/innen. Und es kann mal etwas länger dauern bis sie mit ihrer Arbeit zufrieden sind.

Routine ist ihnen oft ein Gräuel. Manche finden kreativ alternative Wege um dieser Routine immer wieder auszuweichen. Andere plagen Zweifel und Gewissensbisse. Geduld ist ebenfalls keine Stärke der Hochbegabten. Auch nicht begabt sind diese Menschen, wenn es um „einfache Aufgaben“ geht. Die Hochtalentierten sind zumeist empfindlich. Empfindlich gegenüber Lärm, Licht und manche auch gegenüber Berührungen.

So ist es zu verstehen, dass Hochbegabte an bestimmten „Allergien“ leiden, die Andrea Brackmann in ihrem Buch so schlüssig schreibt. Es sind die „hässlichen Worte“ für Hochbegabte wie etwa „Betriebsausflug“, „Stammtisch“, „Schützenfest“, „Höflichkeitsfloskeln“, „Grossraumbüro“. http://www.klett-cotta.de/buch/Klett-Cotta_Leben!/Ganz_normal_hochbegabt/13265 Stand: 19.09.2015

Hingegen lieben Hochbegabte oft „Querdenker/innen“, „Nobelpreisträger/innen“, „Verarbeitungsgeschwindigkeit“, „Freiheit“, „Endlos-Fragen“, „Monologe“ sowie „Spezielle Themen wie etwa die frühkindliche Entwicklungsphase des Kaiserschnurrbarttamarins, die Pflege der Araukarie oder den „Compte rendu au Roi“ des Finanzminister Jacques Neckers in der Zeit der Französischen Revolution.

Für Hochbegabte ist das alles „normal“ – während das „Normale“ schon sehr schwierig sein kann. Viele habe da ein Selbstverständnis wie Albert Einstein: "Ich habe keine besondere Begabung, sondern bin nur leidenschaftlich neugierig."

Wenn Sie das alles gelesen haben, sind Sie an Hochbegabung interessiert. Die anderen haben eh längst das Weite gesucht. Vielleicht wollen Sie genauer wissen, ob Sie hb sind – „hb“ ist das Kürzel bei den „HB“ (Hochbegabten) für „hochbegabt“. Und deshalb gehen wir jetzt auf die nächste Stufe über.

Sicherheitsstufe 2: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“

Ich habe hier IQ-Informationen zusammen gestellt, die Ihnen eine Tendenz Ihrer Begabung aufzeigen können.

O Den ersten IQ-Test habe ich 2005 in der Veröffentlichung von Jürgen vom Scheidt gefunden http://www.hyperwriting.de/loader.php?pid=276 Stand: 19.09.2015. Obwohl ich mit einiger Skepsis an diese Fragen heranging – mein Test beim Schulpsychologen hat damals mehr als eine Stunde gedauert, wie soll man in wenigen Minuten ein ähnliches Ergebnis erzielen können? – war die Antwort jedoch fast exakt dieselbe, die ich Jahre zuvor vom Psychologen in meiner Schule erhalten habe. Chapeau! Für den Autor.

O Auch wenn mir die Headline sehr plakativ erscheint – diese Information verdient ebenfalls Ihr Interesse: „IQ-Test: Gehören Sie zur Grips-Elite?“ http://www.spiegel.de/unispiegel/wunderbar/iq-test-gehoeren-sie-zur-grips-elite-a-505427.html Stand: 19.09.2015

O Ein weiterer Test, der Ihnen tendenziell Informationen über Ihre Begabung geben wird, ist von der „Süddeutsche Zeitung“: „Der kostenlose IQ-Test online mit Sofortergebnis http://iqtest.sueddeutsche.de/ Stand: 19.09.2015

O “MENSA” ist das grösste Netzwerk für Hochbegabte. Der Mensa Online-Test ist jedoch eher ein „Spiel“ als ein zuverlässiges Instrument der Begabungsanalyse. Wenn Sie Lust haben: Spielen Sie mal. Mensa weist ausdrücklich darauf hin: „Sie sollten die Ergebnisse dementsprechend nicht allzu ernst nehmen.“ https://www.mensa.de/online-iq-test-raetsel/mensa-online-test/ Stand: 20.09.2015

O Und hier ist die englische Variante von Mensa International: „Mensa Workout“ https://www.mensa.org/workout/quiz/1 Stand: 20.09.2015

Sicherheitsstufe 3: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“

Wenn Sie jetzt bereit sind und der Stunde der Wahrheit – dem wirklich und wahrhaftigen IQ-Test – ins Auge blicken wollen… Dann melden Sie sich an – zum anerkannten IQ-Test.

Meine Empfehlungen:

O Mensa. Der Test dauert 90 Minuten, kostet 49 Euro und wird in 80 Städten in Deutschland durchgeführt. Getestet werden Menschen ab 14 Jahre. https://www.mensa.de/intelligenztest Stand: 20.09.2015

O Bei einer Psychologin – einem Psychologen – aus dem Expertenkreis Hochbegabung/Potentiale der Sektion "Freiberufliche Psychologen" im Berufsverband Deutscher Psychologinnen und Psychologen (BDP) e.V. den IQ-Test machen http://www.die-hochbegabung.de/german/index.html Stand: 20.09.2015

O Sie fragen im Familienkreis, bei Freund/innen oder in der Schule/Universität nach einer Empfehlung für den IQ-Test.

Ich drücke schon mal die Daumen!

Für das Campus-Radio Bonn interviewte ich einmal die höchstbegabte „First“ Lady – Gründungsmitglied – von Mensa Deutschland, Dr. Ida Fleiß. Dabei lernte ich eine kluge, warmherzige und höchst kreative Dame kennen, der es „zu simpel“ war, ihren „Doktor“ in Europa zu machen. Kurz entschlossen reiste sie nach Asien, lernte die Sprache und schaffte auf Anhieb ihre Promotion. Sie konnte schon immer weit und um die Ecke denken.

Als ich sie jedoch fragte: Haben wir schon für jede Intelligenz ein angemessenes Messverfahren – will sagen: Können wir schon jede Begabung testen – sagte sie traurig: Nein. Daran müssen wir noch arbeiten.

Ich möchte diese Erkenntnis all denen mit auf den Weg geben, die sich zwar für hochbegabt halten, aber in einem der IQ-Tests nicht die Schallgrenze von 130 durchbrechen konnten.

Allen Menschen, die Spass an Mathe haben – ja, die speziell eine Vorliebe für das Kopfrechnen hegen, empfehle ich die Seite eines Freundes von Ida Fleiss: Dr. Dr. Gert Mittring http://www.gertmittring.de Gert Mittring ist der amtierende Weltmeister im Kopfrechnen.

© Lilli Cremer-Altgeld, 2015