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Dienstag, 27. Dezember 2016

Ce que nous pouvons apprendre de modèles surdoués. Ou: Comment un vieux roi peut nous motiver encore aujourd'hui





Lilli Cremer-Altgeld

Mon examen réussi, je me mis rapidement à l'ouvrage comme directrice de séminaires. Quelques mois auparavant j'avais été membre d'une équipe  qui interwiewait "l'élite*)" allemande pour une université allemande. C'est là que j'appris comment et pourquoi les personnes atteignent leurs objectifs comme prévu. J'intégrai maintenant ces informations dans mes séminaires.

D'une certaine manière je me réjouissais de diriger ces seminaires. Mon idée: les participants des séminaires seraient hautement satisfaits d'apprendre de première main comment agir pour réussir et avoir du succès. À quels rouages tourner - ce qu'il valait mieux ne pas faire - et ce qui était important pour atteindre l'objectif souhaité.

Je pensais: les participants se mettront bien vite à l'ouvrage et sonderont à quoi pourrait ressembler leur chemin personnel vers le succès. Et ils commenceront eux aussi à se rejouir de ce qui les attend.

Je fus sans aucun doute trés naïve.

Car quel en fut l'écho?

Peu jusqu'à pas d'intérêt pour la réussite personnelle.

Comment pouvait-il en être ainsi?

Ma première pensée: C'est peut-être à cause de moi?

Je dois tout simplement encore mieux communiquer ces "secrets du succès, de la réussite"!

Pour cela le contrat d'un groupe américain vint bien à propos: j'avais la tâche d'interroger les employés sur le sujet "succès et réussite".

Aprés avoir terminé cette étude j'étais tout-à-fait certaine: les gens ont peur de ce que nous appelons succès et réussite.

Peur du succès qu'ils veulent tous (?) à tout prix?

Peur de la réussite personnelle? Voire donc peur de la réalisation des souhaits et des rêves personnels?

Certes, il y avait bien là ces meneurs, ces animaux de tête, qui pouvaient d'une certaine manière s'imaginer d'être heureux. Il existait pour eux ce tableau: "Mon objectif, c'est d'avoir une villa au bord du Lac Tegern, de pouvoir laisser promener mon regard sur la vallée à partir de ma terrasse et de prendre plaisir à ma Ferrari (qu'elle soit noire ou rouge, peu importe). Je serai alors coach et écrirai des livres."

Pourquoi coach?

Je suis moi-même coach, maintenant depuis plus de vingt ans. Une belle profession. Ce n'est par contre pas une profession qui tombe sous les impôts sur les diverstissement.

Non. Pas un seul d'entre eux ne devint coach. Pas de villa, pas de Lac Tegern, pas de Ferrari. Et, parmi les personnes que j'avais interrogées, il s'agissait là déjà de celle avec le plus grand succès dans la vie.

Les autres membres de cette étude avouèrent sans ambages: J'AI PEUR!!

Peur de ne pas être à la hauteur de la tâche. Peur de ne pas reconnaître le chemin. Peur de perdre les contacts sociaux. Peur des envies et de la jalousie des autres. Peur de soi-même.

On peut vaincre la peur. Mais les gens avaient peur de cela aussi.

Je reçus une deuxième chance, celle de pouvoir travailler à une étude sur l'élite. Cette fois-ci j'eu même la possibilité de lire toutes les interviews. Et je remarquai qu'il y avait une différence entre ce que "l'élite" raconte à la presse - et ce que peuvent apprendre les scientifiques. J'appris que la peur règnait aussi chez ces personnes. Mais j'appris aussi qu'il existait des réseaux. Des réseaux de véritables amitiés qu'elles avaient noués avec art et endurance. J'appris finalement que c'était ces réseaux qui les recueillaient à chaque fois qu'une grosse tempête s'annonçait.

Ces personnes n'en voyaient pas moins de toutes les couleurs dans leur vie que d'autres personnes aussi. Mais elles avaient le réseau qui les recueillait. Ces gens avaient investi beaucoup de temps, d'amour et d'estime dans ce réseau. Non pas avec calcul, non pas avec stratégie - bien que peut-être que si - mais avant tout, parce que c'était le véritable souhait de cette élite, de voir et de cultiver le bon côté de l'homme... c'est pour cela qu'elle nouait toujours et toujours ces réseaux.

Avec leur culture d'encouragement et de revendiquation, ces réseaux étaient très demandés, ne réussissaient-ils pas à établir un clima de bienveillance et  de bienvenue. Bien qu'il ne sagissait pas d'un club secret et bien qu'ils ne semblaient pas y exister de statuts, tout le monde voulait en faire partie aussitôt en avoir entendu parler. Le principe de ces réseaux était très simple: c'était une association de valeurs morales identiques où l'on vivait la solidarité, le respect, l'estime, la coopération et le fait d'être là les uns pour les autres.

Le sentiment de respect et de bienveillance mutuels s'avérait avoir un effet contagieux. Ainsi que l'engagement de voir en l'autre ses bons côtés et de parler en termes élogieux des ses dons. Pour le cas où ces personnes devaient critiquer, elles le faisaient certes d'une façon appropriée, mais encore avec charme, sans être blessantes. Elles ne penseraient sans doutes en aucun moment à se rendre  plus importantes au détriment des autres. Pour la plupart elles semblaient avoir une attitude courageuse et une vue optimiste sur le monde. Et de prendre leur père, leur mère ou d'autres membres de la famille comme modèles pour trouver la force nécessaire pour venir à bout des défits à relever. Mais aussi des philosophes, des poêtes, des musiciens, des inventeurs ou des explorateurs, et particulièrement souvent, des politiciens servaient d'idéaux à suivre. C'étaient rarement des femmes. Les femmes exceptionnelles qui ont été choisies comme modèles, étaient la tsarine russe, ainsi que Elisabeth I, la Reine d'Angleterre.

Le président d'une grande association m'expliqua qu'il se positionnait au bout de chaque jour devant le tableau de son idéal et lui demandait s'il était satifsait de lui. Parfois ces conversations muettes ne duraient que quelques instants. D'autres fois il prenait place à proximité et cherchait à élucider ce qu'il pensait avoir entendu ou ressenti. C'est avec fierté qu'il me montra son idéal: Frédéric II, donc Frédéric le Grand, appelé aussi "der Alte Fritz".

Un politicien est entouré d'innombrables photographies dans son cabinet de travail, qui le montrent avec des personnalités, qui l'ont accompagné un bout de son chemin, des compagnons de route. Dans des moments de doutes, d'incertitude ou d'une faiblesse passagère, il regarde à la ronde et réfléchit à ce que l'une ou l'autre des personnes sur ces photos feraient bien à sa place. Ce politicien pense se sentir plus fort et plus sûr après ces moments de recueil et d'entretiens mentaux.

Le politicien le plus connu avec lequel j'ai parlé avait des idéaux absolument différents: ses voisins. Tous ses voisins. Il dit: si un jour je me retire de la politique , je voudrais que chacun de mes voisins veuille encore me saluer avec plaisir. C'est pourquoi il réfléchit toujours et toujours sur son travail et se demande s'il recevrait encore la bienveillance de ses voisins.

Ces personnes qui se trouvent à la tête de notre société mentionnent bien souvent une pensée, un dicton de Goethe. Elles remarquent également être influencées par l'idéologie de Goethe. Et que c'est justement ce dicton qui a imprégné leur vie: "Noble soit l'homme, serviable et bon".

Peut-on maintenant résumer cela dans la simple formule: Qui est bon (envers soi et) envers les autres personnes - sera recompensé par la vie? Chez les "élites" qui ont été interrogées ici, j'ai pu noté cette tendance.

Il existait toutefois d'autres raisons à côté des "réseaux" (de VÉRITABLES AMITIÉS!), des idéaux, des modèles et l'estime mutuelle.

Celà dépendait avant tout de la façon dont on se voyait soi-même, et aussi de la façon dont on se developpait. Il est clair pour tout le monde que chaque (!) être humain a des dons particuliers. Qu'il faut les découvrir, également.

Il existait ces réflexions que l'on a aussi attribuées à Goethe: "Nos souhaits et nos voeux sont les pressentiments des compétences qui reposent en nous, les signes avant-coureurs de ce que nous sommes capables de devenir. Ce dont nous sommes capables et ce que nous voulons, notre imagination se le représente an dehors de nous et dans le futur. Nous ressentons une nostalgie de ce que nous possédons déjà en nous. Et c'est ainsi qu'une imagination passionnée transforme notre  potentiel véritable en la réalité de nos rêves."

Tous les participants étaient certes conscients qu'il ne s'agissait pas uniquement de se représenter l'avenir de ses rêves, mais qu'il fallait élaborer cet avenir avec du travail, de la discipline et de la concentration. Et ils ont tous accepté cette condition sine-qua-non pour eux.

Je ai remarqué encore une autre chose. Toutes ces personnes avaient en commun une affinité plus ou moins grande pour Marc Aurèle. Ou pour l'un des autres philosophes de la Stoa. Ce n'est pas pour rien que la Stoa est considérée comme le guide des élites dans la région anglo-saxonne. Ce n'est pas pour rien que l'on dit que cette philosophie mène au bonheur. On le soupçonne déjà lorque l'on lit le dicton de Marc Aurèle: "Être heureux signifie avoir bon caractère" (Introspection VII).

Quand les gens ne réussissent pas dans leur vie, c'est vouvent dû au fait qu'ils ont des peurs, des craintes. Peur d'un avenir incertain. Peur d'autres personnes. Peur d'eux mêmes. Et aussi, qu'ils ont l'impression d'être dominés par ces craintes et que rien ne peut y changer quoi que ce soit.

Toutes les personnes ont des craintes. Les unes sont prises au piège de ces craintes - les autres cherchent et trouvent une issue, et vainquent la peur.

Il est donc question de s'exposer à cette peur.

Ce que beaucoup de personnes ne connaissent que peu: On peut de nos jours vaincre la peur sans thérapie et sans coaching. Celui qui se concentre sur un avenir sans crainte, aura ses oreilles et ses yeux bien ouverts - et reconnaîtra ainsi ce qui lui est serviable pour le moment. Cela exige du courage de se dire: j'ai peur, mais je vais lutter et vaincre cette peur. Car: je suis digne de le faire. Et je vais me le promettre!

Celui qui peut se libérer de sa peur, sera libre de découvrir son objectif et son chemin. Cela ne se fera peut-être pas du jour au lendemain. Mais cela se fera.

J'ai bien souvent vu que des personnes qui s'étaient déjà abandonnées, retrouvaient leur chemin dans la vie. Des personnes très malades. Des personnes issues d'une famille désolante. Des personnes qui n'ont pas été encouragées mais dont on avait abusé. Des personnes qui ne sont pas nées du bon côté de la vie.

J'ai vu que chacun pouvait retrouver le côté ensoleillé de la vie. J'ai connu une femme handicapée qui avait déjà été abandonnée par ses deux médecins - j'ai parlé personnellement avec chacun d'eux; l'un m'a dit qu'elle ne survivrait peut-être même plus la nuit - et deux jours plus tard elle se retrouvait dans un avion à destination des vacances. Et quelques semaines plus tard elle pouvait à nouveau marcher à l'aide d'une canne. Plus tard encore, même sans cette canne. Lorsque j'eu notion qu'une médecin de l'hôpital où il se trouvait, avait "abandonné" mon père: "Votre père peut mourir d'un moment `l'autre", je ai commencé à lutter. Mon père survit - et grâce à une homéopathe il vécut encore 7 ans, tout-à-fait bien, heureux et plein d'entrain. Il est important de garder oreilles, yeux et coeur ouverts et de développer la force de croire à des visions et des objectifs - peu importe de ce qu'en disent les autres.

Je suis persuadée que chacun vaut la peine de trouver ce soleil, cette force en lui. Le premier pas: estimez-vous vous-même! Celui qui s'estime soi-même, sera estimé par les autres. Celui qui s'aime soi-même, sera aimé par les autres également. Suivre son intuition est le pas suivant.

Il est bon, sans doute, d'avoir de la patience. Zèle et discipline sont des caractéristiques utiles également. Mais avant tout: cherchez le véritable objectif avec beaucoup d'amour et écoutez les signes du coeur et de l'intuition. Recueillez-vous et faites une pause aussi. Peut-être reculerez-vous même d'un pas et retrouverez-vous le calme. Réfléchissez encore une fois à l'objectif et au chemin à suivre et ressentez: qu'est-ce qui me motive? Quelle est la vision qui met vraiment le feu à mon coeur et fait brûler mes oreilles? Puis lâchez le tout et laissez les choses se faire. Laissez les choses se faire, afin que le chemin à suivre se dessine tout seul, sans pression et tout simplement. Et bien souvent cela se passera comme sur des roulettes.

Je croise les doigts!

(c) Lilli Cremer-Altgeld, 2016

*) Personnes qui sont considérées comme des modèles dans notre société vu leurs performances: des personnes choisies par l'université dans les domaines des sciences, des recherches, des technologies, des arts, de la politique, de l'économie, des médias, des sports. Pourquoi vois-je en ces personnes des personnes surdouées? Il va de soi qu'elles n'ont pas commencé par me montrer leur carte de membre du club des surdoués, MENSA. Mais elles m'ont toutes raconté leur vie. Et c'est ainsi que j'ai pu reconnaître de très grandes ressemblances avec les attitudes et les comportements des surdoués, comme par exemple l'encouragement et le support par certaines organisations, pour lesquelles il faut disposer d'un certain QI pour en devenir membre, ou comme le cas de celui qui a fait son doctorat en physique avec le degré "summe cum laude", ou comme cette femme qui parlait huit langues.

Traduit de l'allemand par André Leyens.

Presse Hochbegabung by Lilli Cremer-Altgeld. News aus aller Welt: Menschen in Gesellschaft, Medizin, Technik, Wissenschaft, Forschung und Hochschulen. Hochbegabte@t-online.de

Montag, 26. Dezember 2016

Was wir von hochbegabten Vorbildern lernen können. Oder: Wie ein alter König uns heute noch motivieren kann


Lilli Cremer-Altgeld

Die Prüfung bestanden, ging ich als Seminarleiterin frisch ans Werk. Monate zuvor war ich Mitglied in einem Team, das für eine deutsche Universität „die Elite*)“ Deutschlands interviewte. Hier erfuhr ich, wie und warum Menschen erreichen, was sie sich vorgenommen hatten. Diese Informationen band ich nun in meine Seminare ein.

Ich hatte eine gewisse Vor-Freude. Denn ich dachte: 
Die Seminarteilnehmer*innen  werden erfreut sein, wenn sie aus erster Hand erfahren, wie das so geht mit dem Erfolg. An welchen Rädchen man drehen muss – was man besser lassen sollte – und worauf es ankommt, dass der Mensch schafft, was er sich wünscht.

Ich dachte: Die Menschen machen sich nun bald ans Werk und loten aus, wie für sie selbst so ein Erfolgsweg aussehen könnte. Und fangen auch an, eine Vor-Freude zu empfinden.

Da war ich wohl sehr naiv.
Denn wie war die Resonanz?
Wenig bis kaum Interesse an dem eigenen Erfolg.
Wie konnte das sein?

Vielleicht liegt es ja an mir,  dachte ich.

Ich muss diese „Erfolgsgeheimnisse“ einfach besser rüberbringen!
Dabei kam mir der Auftrag eines amerikanischen Konzerns sehr gelegen: Ich hatte die Aufgabe, eine Mitarbeiterbefragung zum Thema „Erfolg“ durchzuführen.

Nach dieser Studie wusste ich genau: Die Menschen hatten Angst vor dem, was wir Erfolg nennen.

Angst vor dem Erfolg, den doch alle (?) so heiss ersehnen?
Angst vor dem eigenen Erfolg? D.h. Angst vor der Erfüllung der eigenen Wünsche?

Gewiss, es gab da diese Alphatiere, die sich vorstellen konnten in einer gewissen Metapher glücklich zu werden. Es war dieses Bild: „Mein Ziel ist es, am Tegernsee eine Villa zu haben, den Blick von meiner Terrasse über das Tal schweifen zu lassen und mich an meinem Ferrari (wahlweise in Schwarz oder Feuerrot) zu erfreuen. Ich bin dann Coach und schreibe Bücher.“
Warum Coach?

Ich bin nun selbst Coach seit mehr als 20 Jahren. Ein schöner Beruf. Jedoch keiner, der unter das Vergnügungssteuergesetz fällt. 

Nein. Keiner von ihnen wurde Coach. Keine Villa, kein Tegernsee, kein Ferrari. Und das waren schon die Erfolgreichsten, die ich befragt habe. 
Die anderen Mitglieder der Studie gaben unumwunden zu: ICH HABE ANGST!
Angst, der Aufgabe nicht gewachsen zu sein. Angst, den Weg nicht zu erkennen. Angst, den sozialen Kreis zu verlieren. Angst vor Neid und Missgunst der anderen. Angst vor sich selbst.

Angst kann man überwinden. Aber auch davor hatten die Menschen Angst.
Ich bekam eine zweite Chance, an einer Elitestudie  zu arbeiten. Diesmal hatte ich sogar die Möglichkeit, alle Interviews zu lesen. Mir fiel auf, dass es noch etwas anderes ist, was „die Elite“ der Presse erzählt – und was die Wissenschaftler*innen erfahren durften.  Ich erfuhr, dass es auch bei diesen Menschen Angst gab. Aber, dass es Netze gab. Netze aus echten Freundschaften, die sie lange und kunstvoll geknüpft hatten. Und die sie immer wieder auffingen, wenn denn mal der grosse Sturm aufkam.

Diese Menschen wurden nicht weniger gebeutelt vom Leben als alle anderen Menschen auch. Aber sie hatten das Netz, das sie auffing. Sie hatten viel Zeit, Liebe und Wertschätzung in dieses Netz investiert. Nicht berechnend, nicht strategisch – obwohl vielleicht auch – aber vor allem, weil es dieser Elite ein echtes Anliegen war, das Gute im Menschen zu sehen und zu kultivieren, bauten sie immer wieder diese Netze.

Da es ihnen gelang, ein Klima des Wohlwollens und des Willkommens aufzubauen und zu halten, waren diese Netze mit ihrer Kultur des Förderns und Forderns sehr gefragt. Obwohl es kein geheimer Klub war und es keine Statuten zu geben schien, wollte man einfach dabei sein, sobald man davon hörte. Im Grunde genommen war es einfach: es war eine Wertegemeinschaft, in der Solidarität, Respekt, Achtung, Miteinander & Füreinander gelebt wurde.

Das Gefühl der Achtung und des Wohlwollens wirkte ansteckend, auch das Engagement in dem anderen Menschen das Gute zu sehen und Begabungen lobend zu erwähnen. Wenn diese Menschen kritisierten, taten sie es zwar angemessen aber immer noch mit Charme, ohne verletzend zu sein. Sich auf Kosten anderer Menschen grösser zu machen, käme ihnen wohl kaum in den Sinn. Zumeist schienen sie guten Mutes und optimistisch in die Welt zu blicken und sich über Vor-Bilder die Kraft für die Bewältigung ihrer Herausforderungen zu holen. Vor-Bilder waren dabei der Vater, die Mutter oder andere Familienmitglieder. Aber auch Philosophen, Dichter, Musiker, Erfinder oder Entdecker, besonders oft: Politiker. Selten waren es Frauen. Die herausragenden Frauen, die als Vorbilder gewählt wurden, waren die russische Zarin sowie Elizabeth I., Königin von England.

Der Präsident eines grossen Verbandes erklärte mir, dass er sich am Ende eines jeden Tages vor das Gemälde seines Vorbildes stellt und ihn fragt, ob er mit ihm zufrieden sei. Manchmal sind die stummen Gespräche nur wenige Augenblicke. Manchmal setzt er sich noch auf einen Stuhl in der Nähe und spürt dem nach, was er glaubt, gehört oder gefühlt zu haben. Stolz zeigt er mir sein Vorbild: Es ist Friedrich II., also Friedrich der Große, auch der Alte Fritz genannt.

Ein Politiker ist in seinem Arbeitszimmer umgeben von zig Fotos, die ihn mit Persönlichkeiten zeigen, die ein Stück des Weges mit ihm gegangen sind, Weggefährten. In Augenblicken des Zweifels, der Unsicherheit oder auch einer momentanen Schwäche, schaut er in die Runde und überlegt, was der eine oder andere Mensch da auf den Fotos wohl an seiner Stelle tun würde. Dieser Politiker meint, sich nach diesen Augenblicken des Innehaltens und der Gedankengespräche stärker zu fühlen und sicherer zu sein.

Der bekannteste Politiker mit dem ich gesprochen habe, hat ganz andere Vorbilder: Es sind seine Nachbarn. Alle seine Nachbarn. Er sagt: Wenn ich mal aus der Politik ausscheide, dann möchte ich, dass mich jeder meiner Nachbarn noch immer fröhlich grüssen mag. Und so reflektiert er immer wieder seine Arbeit und fragt sich, ob er wohl noch das Wohlwollen seiner Nachbarn hat.
Diese Menschen an der Spitze der Gesellschaft erwähnen oft einen Gedanken, einen Spruch von Goethe. Auch, dass sie von dem Gedankengut Goethes beeinflusst sind. Und gerade dieser Spruch auch ihr Leben durchwirkt: „Edel sei der Mensch, hilfreich und gut“.

Kann man das auf die einfache Formel bringen: Wer gut (zu sich) und den anderen Menschen ist – wird vom Leben belohnt?  Bei den „Eliten“, die hier befragt wurden, zeigte sich hier ein Trend ab.
Jedoch gab es neben  „Netzen“ (ECHTE FREUNDE!), Vorbildern und Wertschätzung  weitere Ursachen.

Vor allem hatte es etwas damit zu tun, wie man sich selbst sah und sich auch selbst entwickelte. Das jeder (!) Mensch besondere Begabungen hat, ist allen klar. Das diese gefunden werden müssen – auch.

Es gab da diese Gedanken, die ebenfalls Goethe zugeschrieben werden: „Unsere Wünsche sind Vorgefühle der Fähigkeiten, die in uns liegen, Vorboten desjenigen, was wir zu leisten imstande sein werden. Was wir können und möchten, stellt sich unserer Einbildungskraft außer uns und in der Zukunft dar; wir fühlen eine Sehnsucht nach dem, was wir schon im Stillen besitzen. So verwandelt ein leidenschaftliches Vorausgreifen das wahrhaft Mögliche in ein erträumtes Wirkliches.“

Dass es nicht nur darum geht, die Zukunft „zu erträumen“, sondern dass diese Zukunft mit Arbeit, Disziplin und Konzentration verbunden ist, ist allen Beteiligten bewusst. Und das haben alle Beteiligte auch bedingungslos für sich selbst akzeptiert.

Noch etwas fiel mir auf. Diese Menschen hatten alle – mehr oder weniger – eine Affinität zu Mark Aurel. Oder zu einem der anderen Philosophen der Stoa. Nicht umsonst gilt die Stoa als der Wegweiser der Elite im angelsächsischen Raum.  Nicht umsonst  heisst es, gerade diese Philosophie führt zum Glück. Gedanken von Mark Aurel wie "Glücklich sein heißt einen guten Charakter haben“ (Selbstbetrachtungen VII) lassen dies erahnen.

Wenn Menschen nicht erfolgreich sind, hat es oft damit zu tun, dass sie Ängste haben. Angst vor einer ungewissen Zukunft.  Angst vor anderen Menschen. Angst vor sich selbst. Und, dass sie den Eindruck haben, von diesen Ängsten dominiert zu werden und dass sich daran nie etwas ändern kann.
Ängste haben alle Menschen. Die einen sind gefangen in dieser Angst – die anderen suchen und finden den Ausweg, die Überwindung der Angst.      
Es geht deshalb darum, sich dieser Angst zu stellen.

Was vielen Menschen weniger bekannt ist: Ängste kann man inzwischen auch ohne Therapie und Coaching überwinden. Wer seine Konzentration auf eine angstfreie Zukunft einstellt, wird seine Augen und Ohren weit offen haben – und so erkennen, was gerade für ihn hilfreich ist. Es gehört Mut dazu, zu sagen: Ich habe Angst, aber ich werde kämpfen und diese Angst überwinden. Denn: Das bin ich mir wert. Und das werde ich mir jetzt versprechen!

Wer sich von der Angst befreien kann – wird frei sein, sein Ziel und seinen Weg zu erkennen. Es geht vielleicht nicht von heute auf morgen. Aber es geht.
Ich habe immer wieder erlebt, dass Menschen die sich selbst schon aufgegeben haben, zu ihrem wahren Leben fanden. Menschen, die sehr krank waren. Menschen, die aus einem traurigen Elternhaus kamen. Menschen, die nicht gefördert, sondern missbraucht wurden. Menschen, die nicht auf der Sonnenseite des Lebens geboren und aufgewachsen sind.


Ich habe erlebt, dass jeder die Sonnenseite des Lebens finden kann. Ich habe erlebt, dass eine geh-behinderte Frau von ihren beiden Ärzten schon aufgegeben wurde – ich habe mit beiden Ärzten persönlich gesprochen – einer sagte mir: Vielleicht wird sie nicht mal mehr diese Nacht überleben – zwei Tage später sass sie im Flieger und fuhr in den Urlaub. Und Wochen später konnte sie mit einem Stock wieder gehen. Später sogar ohne diesen Stock. Als ich hörte, dass eine Ärztin im Krankenhaus meinen Vater „aufgegeben hatte“: „Ihr Vater kann jeden Moment sterben“, begann ich zu kämpfen. Er überlebte – und lebte mit Hilfe einer Heilpraktikerin noch sieben Jahre gut, froh und munter. Es ist wichtig, Ohren, Augen und das Herz offen zu halten und die Kraft zu entwickeln, an Visionen und Ziele zu glauben – ganz gleich, was andere dazu sagen.

Ich bin sicher, dass jeder Mensch Wert ist, diese Sonne, diese Kraft in sich  zu finden. Es fängt so an: Wer sich selbst wertschätzt – wird auch von anderen wertgeschätzt. Wer sich selbst mag – den mögen auch die anderen Menschen. Folge Deiner Intuition – ist der nächste Schritt.

Es ist gut, Geduld im Gepäck zu haben, Fleiss und Disziplin können hilfreich sein. Vor allem: Mit Liebe das richtige Ziel aussuchen und auf das Herz und den Bauch hören. Auch mal innehalten. Vielleicht einen Schritt zurücktreten und zur Ruhe kommen. Ziel und Weg noch einmal unter die Lupe nehmen und spüren: Was motiviert mich? Bei welcher Vision beginnt mein Herz zu glühen an und meine Ohren werden feuerrot? Dann loslassen und es geschehen lassen. Geschehen lassen, dass der Weg unverkrampft sichtbar und leicht wird. Und dann geht es oft fast wie von selbst.

Ich drücke die Daumen!

© Lilli Cremer-Altgeld, 2016
        
*) Menschen, die aufgrund ihrer Leistungen in unserer Gesellschaft als vorbildlich gelten:  Von der Universität ausgesuchte Menschen aus den Bereichen der Wissenschaften, Forschungen, Technologien, Kunst, Politik, Wirtschaft, Medien, des Sports. Warum sehe ich diese  Menschen als hochbegabt an? Selbstredend haben sie mir nicht als erstes ihren Ausweis des Hochbegabten-Clubs MENSA auf den Tisch gelegt. Aber alle erzählten mir ihre Vita. Und so konnte ich erkennen, wo grössere Ähnlichkeiten zu den Einstellungen und Verhaltensweisen der Hochbegabten erkennbar waren, wie etwa die Förderung durch bestimmte Organisationen, die ihre Aufnahme von einem IQ-Test abhängig machen oder etwa wenn jemand mit  „summa cum laude“ seinen Doktor in Physik gemacht hat oder diese Frau, die acht Sprachen spricht.


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Dienstag, 20. Dezember 2016

Natürliche Wirkstoffe im Einsatz gegen Malaria und andere armutsbedingte Krankheiten


BMBF und DZIF fördern modernste Produktionsverfahren für mikrobielle Wirkstoffkandidaten gegen armutsbedingte Infektionskrankheiten am HZI

20.12.2016
Arzneimittel gegen Malaria, Tuberkulose, HIV und andere Infektionskrankheiten werden nach wie vor besonders in ärmeren Ländern dringend benötigt. Fast 430.000 Menschen sind im vergangenen Jahr Schätzungen zufolge allein an Malaria gestorben. Das geht aus dem neuen Malaria-Report der Weltgesundheitsorganisation (WHO) hervor. Diese lebensnotwendigen Medikamente stehen jedoch nicht im Fokus der Pharmaindustrie. Damit die Entwicklung möglicher neuer Wirkstoffe trotzdem vorangetrieben wird, versuchen Forscher des Helmholtz-Zentrums für Infektionsforschung (HZI) in Braunschweig im Rahmen des neuen Forschungsprojekts „AntiMalariaDrug: Biotechnologische Produktion neuer natürlicher Wirkstoffe zum Einsatz gegen Malaria und andere armutsbedingte Krankheiten“ mögliche Wirkstoffkandidaten zu finden und weiterzuentwickeln. Das Bundesministerium für Bildung und Forschung (BMBF) förderte das Projekt mit 780.000 Euro im Rahmen seines Förderkonzepts „Globale Gesundheit im Mittelpunkt der Forschung“  zu vernachlässigten und armutsassoziierten Krankheiten. Zudem wurden über das Deutsche Zentrum für Infektionsforschung (DZIF) mehrere Bioreaktoren am HZI in Braunschweig für das Projekt mit einer Fördersumme von 325.000 Euro finanziert. Ziel der Förderung war es, umfangreiche Kapazitäten für die nachhaltige biotechnologische Produktion präklinischer Entwicklungskandidaten aus mikrobiellen Naturstoffen zu schaffen.
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© HZI/János KrügerModerne Produktionsplattform für mikrobielle Wirkstoffkandidaten gegen armutsbedingte Infektionskrankheiten wie Malaria oder Tuberkulose.
Armut begünstigt das Auftreten von Krankheiten, ganz besonders das von Infektionskrankheiten. Rund drei Milliarden Menschen – das ist beinahe die Hälfte der Weltbevölkerung – gelten als arm. Sie haben kaum Zugang zu medizinischer Versorgung, gesunder Nahrung oder sauberem Trinkwasser. Die Weltgesundheitsorganisation schätzt, dass weltweit fast 1,5 Milliarden Menschen in den ärmsten Regionen an Armuts-assoziierten Krankheiten leiden. Zu ihnen gehören auch solche Erkrankungen, die hierzulande meist mit modernen Medikamenten heilbar oder zumindest behandelbar sind, wie Malaria, Tuberkulose oder AIDS. 
„Es besteht weltweit ein immenser Nachholbedarf bei der Entwicklung von neuen Antibiotika für die Therapie bakterieller Infektionen, vor allem bei gramnegativen Erregern. Der Suche nach neuen antibiotischen Medikamenten wird in der Industrie nicht mehr der gleiche hohe Stellenwert beigemessen wie noch vor 20 Jahren“, sagt Prof. Marc Stadler, Leiter der Abteilung „Mikrobielle Wirkstoffe“ am HZI. „Die Entwicklung von Wirkstoffen gegen Tuberkulose und andere bakterielle Krankheiten, die vor allem in den Tropen eine Rolle spielen, wurde sogar noch weniger vorangetrieben als die Entwicklung der Breitspektrum-Antibiotika oder von Wirkstoffen gegen multiresistente Krankenhauskeime. Sehr viele Stämme von Mycobacterium tuberculosis sind daher gegen den Standard-Wirkstoff Rifampicin resistent oder tragen sogar multiple Resistenzgene.“
Für die Behandlung von parasitären Erkrankungen wie Malaria stehen heute schon sehr gute Wirkstoffe zur Verfügung, wie beispielsweise Derivate des pflanzlichen Naturstoffs Artemisinin. Allerdings sind die Entwicklung solcher Stoffe und die Versorgung der betroffenen Bevölkerungsgruppen ein zeitraubender und nicht einfach zu bewerkstelligender Prozess. Bei Artemisinin dauerte es allein mehrere Jahrzehnte, den Wirkstoff zu optimieren und ihn in größeren Mengen produzieren zu können. „Heute sind sehr große Anstrengungen nötig, damit Mittel gegen die in zehn bis 20 Jahren auftretenden Malaria-Erreger zur Verfügung stehen“, sagt Stadler. 
Mit der Förderung von BMBF und DZIF erweitern Stadler und sein Team eine hochmoderne Produktionsplattform am HZI für mikrobielle Wirkstoffkandidaten. „Durch internationale Kooperationsprojekte haben wir Zugang zu vielen mikrobiellen und pilzlichen Naturstoffen. Dabei reicht es jedoch nicht aus, potenzielle Wirkstoffkandidaten zu identifizieren“, sagt Stadler. „Man braucht die Wirkstoffe auch in ausreichender Menge und Qualität. Dazu müssen wir sie biotechnologisch oder chemisch aufarbeiten und in Multi-Gramm-Mengen bereitstellen – für die präklinische Entwicklung ist fast ein Pfund erforderlich.“ Nur dann lassen sich auch die nachfolgenden Schritte auf dem Weg zur Medikamentenentwicklung durchführen. Damit das zukünftig gelingt, werden die Fördergelder überwiegend in neue Bioreaktoren – Geräte, mit denen potenzielle Wirkstoffe isoliert werden können – investiert.
Die neuen Bioreaktoren erlauben es den Wissenschaftlern, neben neuen Wirkstoffkandidaten auch bereits bekannte in größeren Mengen zu isolieren und weiterzuentwickeln. „Der Wirkstoff Chlorotonil beispielsweise hat in einem vorherigen Projekt im Tierversuch bei oraler Gabe eine Wirkung gegen Malaria gezeigt. Dank der neuen Fermenter können wir an diese Ergebnisse nun gezielt anknüpfen und die Menge des Wirkstoffes erhöhen“, sagt Stadler. „Wir haben bereits ein Verfahren entwickelt, um die Stoffe im Multi-Gramm-Maßstab zu produzieren, welches nur noch auf einen größeren Produktionsprozess übertragen werden muss. Das Projekt läuft schon seit Januar 2016 sehr erfolgreich in Kooperation mit der Universität Tübingen im Rahmen des Deutschen Zentrums für Infektionsforschung.“
Sowohl bei der Suche nach neuen Kandidaten als auch bei der Aufarbeitung und Weiterentwicklung bis hin zur medizinischen Anwendung setzt Stadler auf ein weltweites Netzwerk: „Wir verfügen über sehr gute Kontakte und Kooperationen auf der ganzen Welt. Viele junge internationale Wissenschaftler forschen am HZI an den Wirkstoffen aus ihren eigenen Heimatländern. Sie erhalten bei uns gleichzeitig eine hervorragende Ausbildung und können zukünftig bei der Suche nach neuen Antibiotika aus den biologischen Quellen ihrer Heimat mithelfen. In den vergangenen Jahren haben wir beispielsweise in Zusammenarbeit mit Forschern in Kenia und Thailand mehr als 50 neue Wirkstoffe gefunden.“
Das HZI ist Mitglied im Deutschen Zentrum für Infektionsforschung (DZIF). Rund 500 Wissenschaftler und Ärzte in insgesamt 35 Forschungseinrichtungen arbeiten im DZIF gemeinsam gegen die weltweite Bedrohung durch Infektionskrankheiten. www.dzif.de 


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Wirbelschleppen umfliegen: Neues System im Flugversuch erprobt



Forschungsflugzeug A320 ATRA
Quelle: DLR (CC-BY 3.0)


Wenn Flugzeuge fliegen, entstehen hinter ihnen von den Tragflügelspitzen ausgehende starke Wirbel, sogenannte Wirbelschleppen. Diese können sicherheitsrelevante Auswirkungen auf den nachfolgenden Flugverkehr haben. Das Deutsche Zentrum für Luft- und Raumfahrt (DLR) hat nun in Flugversuchen die Weiterentwicklung eines Wirbelschleppenausweichsystems erprobt. Das System kann die potentiell gefährlichen Wirbelschleppen allein aus Wetterinformationen und den Navigationsdaten des vorausfliegenden Flugzeugs vorhersagen, mögliche Konflikte ermitteln und dazu Ausweichmanöver vorschlagen.

Darstellung unsichtbarer Wirbel auf dem Display

Bei insgesamt fünf Versuchsflügen im November und Dezember 2016 war das DLR-Forschungsflugzeug A320 ATRA (Advanced Technology Research Aircraft) für den Praxistest des neuen Ausweichsystems in der Luft. "Zunächst haben wir mit Hilfe des gleichzeitig fliegenden DLR-Versuchsflugzeugs Falcon erprobt, wie präzise die vorgeschlagenen Ausweichmanöver dessen Wirbelschleppen umgehen", erklärt der Projektleiter Tobias Bauer vom DLR-Institut für Flugsystemtechnik. "Dafür haben wir von der Falcon genaue Informationen über Position, Geschwindigkeit sowie meteorologische Parameter empfangen, aus denen der Computer berechnet, wie sich die Wirbelschleppen im Luftraum bewegen." Als Schnittstelle zum Piloten dient ein Display, das die Position der Wirbelschleppe anzeigt und eine alternative Flugbahn mit möglichst geringer Bahnabweichung vorschlägt.

Testfall Linienflug

Eine Software zur Wirbelprognose, entwickelt am DLR-Institut für Physik der Atmosphäre, berechnet unter Berücksichtigung des Winds, der Temperaturverteilung und der Turbulenz, wie sich die Wirbelschleppen hinter einem Flugzeug verhalten. Je weniger lokale Wetterdaten dafür bereitstehen, desto schwieriger wird die Berechnung. "Bei vier von fünf Versuchsflügen haben wir direkt die Wirbelschleppen von Flugzeugen im Linienverkehr angesteuert", erzählt Bauer. "Diese senden heute erst einen Teil der benötigten Daten an umgebende Flugzeuge, so dass wir weitreichende Annahmen für die Vorhersage der Wirbelschleppen treffen mussten." Die gesammelten Daten aus dem operationellen Linienverkehr bilden daher eine wertvolle Grundlage, um das System weiter zu präzisieren, nach dem die Tests mit der Falcon bereits gezeigt haben, dass der gewählte Ansatz prinzipiell gute Wirbelprognosen liefert und das Situationsbewusstsein der Piloten schärft.

Exakte Koordination

"Die Testflüge erforderten eine exakte Koordination mit dem jeweils vorausfliegenden Flugzeug", sagt DLR-Testpilot Jens Heider von der DLR-Forschungsflugabteilung. "Mit der Falcon war das eingespielt, aber bei den kurzfristig ausgewählten Linienflugzeugen waren wir auf die Kooperation mit den Piloten verschiedenster Fluggesellschaften sowie den Fluglotsen angewiesen, die sehr gut funktionierte." Geflogen wurden die Ausweichmanöver im Luftraum über Nordostdeutschland. Die Forschungsflugzeuge starteten und landeten am DLR-Standort Braunschweig.

Aufrollen an den Flügelspitzen

Wirbelschleppen, die auch Wirbelzöpfe oder Randwirbel genannt werden, sind gegenläufig drehende Luftwirbel hinter fliegenden Flugzeugen. Ihre Intensität ist von Größe und Gewicht eines Flugzeugs abhängig. Besonders kräftig fallen daher die Wirbelschleppen der Großflugzeuge wie etwa des Airbus A380 oder der Boeing 747 aus. Hinter diesen Giganten der Lüfte müssen kleinere Maschinen einen erweiterten Sicherheitsabstand von bis zu fünfzehn Kilometern einhalten. Die Lebensdauer von Wirbelschleppen wird von Windverhältnissen, Turbulenz und Temperaturschichtung in der Atmosphäre beeinflusst. In der Regel sinken die Wirbel langsam ab, bevor sie sich auflösen. Wirbelschleppen rühren von der Aerodynamik der Tragflächenspitzen her. Dort treffen der Unterdruck der Tragflächenoberseite und der Überdruck der Tragflächenunterseite zusammen, was zu einem Aufrollen der Wirbel führt.

Bordgestütztes Warn- und Ausweichsystem für Wirbelschleppen

In verschiedenen Projekten, aktuell dem DLR Projekt Land-Based and Onboard Wake Systems (L-bows), beschäftigen sich DLR-Wissenschaftler seit 2012 mit den Basisfunktionalitäten des DLR-Warn- und Ausweichsystems für Wirbelschleppen, genannt WEAA (Wake Encounter Avoidance & Advisory System). Unter der Leitung des DLR-Instituts für Flugsystemtechnik wird schrittweise eine Technologie entwickelt, die Wirbelschleppen entlang der Flugbahn vorhersagt, in ihrer Wirkung einschätzt, passende Ausweichmanöver vorschlägt und diese bei Bedarf automatisch durchführt. Das DLR-Institut für Physik der Atmosphäre hat die Software zur Zusammenführung der Wetterdaten aus verschiedenen Quellen und zur Wirbelschleppenvorhersage beigesteuert; ein Teil der Arbeiten wurde im Auftrag von Airbus durchgeführt. In einem Anschlussprojekt soll die Praxistauglichkeit der einzelnen Module vorangetrieben und die Technologieerprobung unter Einsatzbedingungen weiter abgerundet werden.


Kontakte:

Falk Dambowsky  
Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt (DLR) Kommunikation, Redaktion Luftfahrt
Tel.: +49 2203 601-3959

Tobias Bauer  
Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt (DLR) Institut für Flugsystemtechnik
Tel.: +49 53 12953-258

Jens Heider  
Deutsches Zentrum für Luft- und Raumfahrt (DLR) Flugexperimente
Tel.: +49 53 12952-402




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Stroke: brain cells potentiate harmful electrical discharges

Study suggests astrocytes may be targets for treatment

Bonn (Germany), December 20th, 2016. In the aftermath of stroke, brain damage is exacerbated by electrical discharges. Researchers at the German Center for Neurodegenerative Diseases (DZNE) have investigated the mechanisms of these “spreading depolarizations” in mice, and found that brain cells termed astrocytes potentiate the fatal discharges. The study highlights potential counter-measures: a signaling pathway that acts upon the calcium concentration in astrocytes may be a potential starting point for treating stroke in humans. Dr. Cordula Rakers and Prof. Gabor Petzold report on these findings in the “Journal of Clinical Investigation”.
In their scientific study, DZNE researchers have found that certain brain cells interact in a detrimental way during stroke. Harmful electrical discharges are thereby amplified. This microscopic image shows brain cells (blue and green) of a mouse. Blood vessels are colored in red. Source: DZNE/Cordula Rakers
Click on the magnifying glass for a large image.
The brain depends on a constant supply of oxygen. This is why a stroke can have fatal consequences. Whether caused by cerebral hemorrhage or a blocked artery, the oxygen deficit triggers a rapid loss of nerve cells. Stroke is, therefore, one of the most common causes of death, and even if the patient survives, paralysis, speech difficulties or other disabilities may remain depending on which part of the brain was injured.
The damaged area can even expand to some extent. This is due to “spreading depolarizations”, which can occur minutes after a stroke and may recur over the following days. They start at the infarct core and engulf the surrounding tissue like an avalanche. These electrical discharges put the cells under severe stress. “The spreading depolarizations radiate into the healthy tissue. Each wave can increase the volume of the brain affected by stroke,” says Petzold. “Incidentally, these depolarizations do not occur only in stroke but also in other severe brain injuries. A therapy might therefore be relevant for many neurological diseases.”
Favourable opportunities for treatment might arise from the fact that the discharges spread over several days. Petzold notes: “Each wave is potentially harmful. However, the damage occurs gradually as there is a cumulative effect. Treatment could therefore have a positive impact, even if it is given days after the stroke. The time window for treating spreading depolarizations might therefore be larger than in established therapies against stroke.”

Harmful interaction between nerve cells and astrocytes

DZNE researchers have now discovered how various events and cell types interact during spreading depolarizations, thereby intensifying the discharge. Cells known as astrocytes play a key role. These cells form a dense network with the brain’s nerve cells and are involved in various metabolic processes.
“When nerve cells depolarize, they release large quantities of the neurotransmitter glutamate. Glutamate then diffuses to other cells, in particular to neighboring astrocytes,” explains Petzold. “This was known before. However, we have now been able to show what follows this event. The glutamate causes calcium levels in the astrocytes to soar. As a result, the astrocytes release glutamate as well. This in turn can act on nerve cells. A vicious circle emerges that potentiates the spreading depolarizations. This process is amplified by the astrocytes.”
The neuroscientists were also able to show that certain drugs can interrupt this chain of events. Ultimately, these drugs reduce the abnormally elevated calcium levels in astrocytes. “At present, there is no established treatment that directly affects spreading depolarizations. Our results show that it is possible to reduce the frequency and severity of these discharges by modulating the astrocytes’ calcium metabolism. In theory, this could also be possible in humans. This could lead to a new approach to treating stroke,” says Petzold.
Original publicationAstrocyte calcium mediates peri-infarct depolarizations in a rodent stroke model.
Cordula Rakers and Gabor C. Petzold.
Journal of Clinical Investigation. DOI: dx.doi.org/10.1172/JCI89354
ContactDr. Marcus Neitzert
DZNE, Communications
+49 (0) 228 / 43302-267marcus.neitzert(at)dzne.de
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Schlaganfall: Hirnzellen verstärken schädliche Entladungen

Studie: Astrozyten bieten möglicherweise Ansatzpunkte für die Therapie

Bonn, 20. Dezember 2016. Bei einem Schlaganfall kann der geschädigte Hirnbereich infolge elektrischer Entladungen immer weiter anwachsen. Bonner Forscher des DZNE haben die Mechanismen solcher „Depolarisationswellen“ an Mäusen untersucht und herausgefunden, dass bestimmte Hirnzellen – sogenannte Astrozyten – die fatalen Entladungen potenzieren. Die Studienergebnisse deuten zugleich auf etwaige Gegenmaßnahmen hin: Mögliche Ansatzpunkte für die Schlaganfall-Therapie beim Menschen bietet demnach ein Signalweg, der die Kalzium-Konzentration im Inneren der Astrozyten beeinflusst. Dr. Cordula Rakers und Prof. Gabor Petzold berichten darüber im „Journal of Clinical Investigation“. 
DZNE-Forscher haben durch Laboruntersuchungen herausgefunden, dass bei einem Schlaganfall bestimmte Hirnzellen in fataler Weise zusammenspielen. Schädliche elektrische Entladungen werden dadurch verstärkt. Diese mikroskopische Aufnahme zeigt Hirnzellen (blau und grün) einer Maus. Blutgefäße sind rot gefärbt. Quelle: DZNE/Cordula Rakers
Zum Vergrößern bitte auf die Lupe klicken.
Das Gehirn ist auf eine ständige Versorgung mit Sauerstoff angewiesen. Deshalb kann ein Schlaganfall - auch „Hirninfarkt“ genannt - schlimme Folgen haben. Unabhängig davon, ob durch eine Hirnblutung oder eine verstopfte Arterie ausgelöst: Sauerstoffmangel rafft Nervenzellen im Eiltempo dahin. Der Schlaganfall zählt daher zu den häufigsten Todesursachen und falls die Betroffenen überleben, können Lähmungen, Sprachschwierigkeiten oder andere Behinderungen zurückbleiben - je nachdem, welche Hirnbereiche verletzt wurden.
Fatalerweise kann sich die Schadenszone - in gewissem Umfang - immer weiter ausdehnen. Ursache dafür sind sogenannte Depolarisationswellen, die bereits Minuten nach einem Infarkt auftreten können - und in den Tagen danach immer wieder. Sie starten im Kerngebiet des Infarkts und überrollen das umliegende Gewebe wie eine Lawine. Diese elektrischen Entladungen setzen die Zellen unter lebensbedrohlichen Stress. „Die Depolarisationswellen wandern bis in das gesunde Gewebe hinein. Mit jeder Welle kann sich das Infarktvolumen mehr und mehr vergrößern“, sagt Petzold. „Solche Entladungen treten im Übrigen nicht nur bei Schlaganfällen auf, sondern auch bei anderen schweren Hirnverletzungen. Insofern wäre eine Therapie für viele Erkrankungen von Bedeutung.“
Der Therapie bieten sich möglicherweise günstige Chancen, weil sich die Entladungen über mehrere Tage verteilen. Petzold: „Jede Welle ist potentiell gefährlich. Allerdings entstehen die Schäden erst nach und nach. Hier gibt es einen kumulativen Effekt. Eine Behandlung könnte daher positive Wirkung haben, auch wenn sie erst Tage nach dem Schlaganfall erfolgt. Das Zeitfenster zur Behandlung der Depolarisationswellen ist also möglicherweise größer, als bei den etablierten Therapien gegen Schlaganfall.“ 

Unheilvolle Wechselwirkung von Nervenzellen und Astrozyten

Die DZNE-Forscher fanden nun heraus, wie bei einer Depolarisationswelle verschiedene Geschehnisse und Zelltypen zusammenspielen und die Entladung verstärken. Eine entscheidende Rolle spielen dabei sogenannte Astrozyten. Diese Zellen sind gemeinsam mit den Nervenzellen des Gehirns zu einem Netzwerk verflochten und an diversen Stoffwechselprozessen beteiligt.
„Wenn die Nervenzellen depolarisieren, setzen sie große Mengen des Botenstoffs Glutamat frei. Das Glutamat diffundiert dann zu anderen Zellen, insbesondere zu benachbarten Astrozyten“, erläutert Petzold. „Das wusste man schon. Doch wir konnten nun zeigen, was im Anschluss passiert: Das Glutamat lässt die Konzentration an Kalzium innerhalb der Astrozyten in die Höhe schnellen. Infolgedessen setzen die Astrozyten ebenfalls Glutamat frei. Das kann dann wiederum auf Nervenzellen einwirken. So kommt ein Teufelskreis in Gang, der die Depolarisationswelle potenziert. Dabei wirken die Astrozyten als Verstärker.“
Die Neurowissenschaftler konnten allerdings auch nachweisen, dass Pharmaka diese Ereigniskette unterbrechen und den abnorm erhöhten Kalzium-Spiegel innerhalb der Astrozyten reduzieren können. „Bisher gibt es keine etablierte Therapie, die gezielt auf die Depolarisationswellen einwirkt. Unsere Ergebnisse zeigen, dass es möglich ist, die Häufigkeit und Schwere dieser Entladungen abzumildern, wenn man in den Kalzium-Stoffwechsel der Astrozyten eingreift. Prinzipiell könnte dies auch beim Menschen möglich sein. Das wäre ein neuartiger Ansatz für die Behandlung des Schlaganfalls“, so Petzold.
OriginalveröffentlichungAstrocyte calcium mediates peri-infarct depolarizations in a rodent stroke model.
Cordula Rakers and Gabor C. Petzold.
Journal of Clinical Investigation. DOI: dx.doi.org/10.1172/JCI89354
KontaktDr. Marcus Neitzert
DZNE, Wissenschaftsredakteur
+49 (0) 228 / 43302-267
marcus.neitzert(at)dzne.de 


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Dienstag, 13. Dezember 2016

Ehre, wem Ehre gebührt: FH Aachen feiert mit ihren besten Studierenden


Foto: FH Aachen / Heike Lachmann


Tosender Applaus war ihnen gewiss - 101 Absolventinnen und Absolventen der FH Aachen sind am Freitag mit der Ehrenplakette der Hochschule ausgezeichnet worden. Ihre Eltern und Freunde sowie die betreuenden Lehrkräfte kamen in den Krönungssaal des Aachener Rathauses, um gemeinsam mit den erfolgreichen Studierenden zu feiern. Wir gratulieren herzlich!


„Dieser Applaus ist ein Zeichen der Wertschätzung“, sagte der Rektor der FH Aachen, Prof. Dr. Marcus Baumann, zu den Ausgezeichneten, „Ehre, wem Ehre gebührt“. Er appellierte an die jungen Frauen und Männer, sich ihrer gesellschaftlichen Verantwortung bewusst und dieser gerecht zu werden. Es gelte, neue Lösungen zu finden, Visionen zu entwickeln und dabei gerecht und aufrichtig zu handeln. Prof. Baumann sprach sich dafür aus, den Begriff der Elite neu zu denken; Elite sei ohne Geist und Verstand nicht denkbar. „Sie gehören zur Elite, Sie sind exzellent“, rief der Rektor den Geehrten zu, und verwies darauf, dass die Macht des Verstands den Weg zur Freiheit ebne, da sie die Menschen in die Lage versetze, Affekte zu beherrschen.

Erstmals zeichnet die FH Aachen in diesem Jahr mehr als 100 Absolventinnen und Absolventen mit einer Ehrenplakette für ihre herausragenden Leistungen im Studium aus. Nominiert wurden die Studierenden von den zehn Fachbereichen der Hochschule, sie erhielten Plakette und Urkunde aus den Händen des Rektors sowie ihres jeweiligen Dekans. Im abgelaufenen Studienjahr haben 1732 junge Frauen und Männer einen Abschluss an der FH Aachen gemacht.

Im Rahmen der Feier wurden auch zwei besondere Ehrungen vergeben. Georg Wählisch erhielt den Lehrpreis - erstmals bekommt ein Fachlehrer diese Auszeichnung, die großes Engagement für die Studierenden würdigt. Der Preisträger ist Leiter des CAD-Labors des Fachbereichs Energietechnik am Campus Jülich, er lehrt in den Bereichen IT/EDV, Technisches Zeichnen, CAD und Darstellende Geometrie. Außerdem ist er stellvertretender Direktor des Solar-Instituts Jülich der FH Aachen. In der Würdigung heißt es, Georg Wählisch habe sich beispielgebend durch Einsatz und Weiterentwicklung innovativer Lehr- und Lernformen zu Gunsten der Studierenden ausgezeichnet.


Den DAAD-Preis für herausragende Leistungen ausländischer Studierender erhält Arif Izzudin, der im sechsten Semester Mechanical Engineering studiert. Geehrt wird er für seinen Beitrag zur Betreuung ausländischer Studierender, etwa im Mentoringprogramm und bei den Einführungswochen.  


Arnd Gottschalk M.A.
Stabsstelle für Presse-, Öffentlichkeitsarbeit und Marketing

FH Aachen
University of Applied Sciences
Bayernallee 11
52066 Aachen | Germany
T +49. 241. 6009 51083



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Frauen in Europa

Frauen in Europa
Frauen in Europa by Lilli Cremer-Altgeld. „Frauen in Europa“. Seien Sie dabei! Mit Ihren Gedichten. Mit Ihren Ideen. Mit Ihren Visionen. Mit Ihren Werken. Mit Ihrer Homepage. Bitte schreiben Sie eine Mail an Lilli Cremer-Altgeld frauenineuropa@t-online.de Bitte klicken Sie auf das Bild: So kommen Sie direkt zum Blog „FRAUEN IN EUROPA“.

Was die anderen Hochbegabten anders machen – ein Beispiel aus der Wirtschaft für die Politik


Foto: Ralf Voigt


Man erkennt sie.

Es sind die kleinen Einsteins, die Picassos und die Mozarts. Sie lesen schon mit sechs Jahren „The New York Times“, korrespondieren mit fünf Jahren in Mandarin und spielen mit vier Jahren die Spatzenmesse in C-Dur. Später studieren sie dann bereits mit 14 an einer Uni und werden jüngster Professor oder jüngste Professorin.

Man kennt sie.

Dann gibt es noch die anderen.

Ihre Begabung ist nicht so offensichtlich. Oder: offensichtlich nur für Eingeweihte. Für Kennerinnen und Kenner. Wahrscheinlich stehen sie nicht in einem Labor. Ob sie mit dem Pinsel umgehen können? Seien Sie tapfer: Wohl eher nicht so. Ob sie eine Stradivari zu schätzen wissen? Hm.

Und doch haben sie ihre Begabung. Erkennbar wie gesagt fast nur für Eingeweihte.

Ein Beispiel: Ich war Mitglied in einem Verband, der das Wort „Wirtschaft“ in seinem Namen trägt. Es ging um ein Thema, das alle Menschen bewegt. Wirklich alle. Wirklich jeden. Es ging um Politik. Und um den Anlauf zu einem neuen Gesetz. Man diskutierte. Und fragte sich, wie man denn überzeugend argumentieren könnte.

Ich erwähnte den Gedanken einer Befragung. Sie kennen das: In jeder grösseren Stadt stehen diese Interviewer auf der grossen Einkaufsstrasse und wollen wissen, welche Zahnpasta, welches Waschmittel, welche Automarke Sie bevorzugen. Strasseninterviews nennen wir das. Wir, das sind meine Kolleg*innen aus der Marktforschung und ich. Ich hatte damals ein Institut für Markt- und Kommunikationsforschung. Unsere Klienten aus der Politik und Wirtschaft waren bekannt und angesehen und wir waren stolz darauf, für sie forschen zu dürfen.

In meinem Verband war das bekannt.

Ja. Sagte man: Eine Befragung auf der Strasse ist ein überzeugendes Argument. Wir – wer auch immer „wir“ sein sollte – wir stellen uns auf die Strasse und befragen die Menschen. Und dann geben wir – und das war der Sinn der Sache – das Ergebnis an den OB der Stadt. Einer von meinen Kollegen im Verband meinte dann: Ob wir wohl 50 Menschen dazu bewegen können, mit uns zu reden?

Wie, sagte ich: 50 Menschen?

Ja. Sagten die anderen. 50 Menschen wäre eine tolle Sache.

Klar sind 50 Menschen eine tolle Sache. Aber: Wie wollen wir einen OB mit den Stimmen von 50 Menschen motivieren, ein neues Gesetz in Gang zu bringen? Nach einer halben Stunde hatte man sich auf 100 Menschen geeinigt. Mit dem Zusatz: Ob wir das wohl schaffen werden?

Warum so zaghaft?

Die Jungs und Mädels, die hier zusammen sassen, waren die Menschen, die täglich über Millionen entschieden. Ihre Denkweisen waren nicht 100 oder 1.000. Es waren 1.000.000 und mehr!

Mir war klar, dass ich meine lieben Kolleginnen und Kollegen jetzt schockieren musste. Nicht weil ich Schocks mag – aber ich musste ihnen schon sagen, wie so etwas in der Realität funktioniert. Dass man an den verantwortlichen Stellen – sorry – 100 Menschen als Beweis nicht gelten lassen wird. Man wird schmunzeln und zur Tagesordnung übergehen.

Noch bevor ich den Gedanken: „Wie sag‘ ich es das denn jetzt?“ zu einem Satz modellieren konnte, war es raus:

1.000 INTERVIEWS!
1.000 Interviews?

Das Entsetzen war gross. Nur unser Präsident war begeistert. Und dann ging das los, was zumeist los geht, wenn ein Hochbegabter – eine Hochbegabte – eine Idee und einen Weg vor Augen hat: GEHT NICHT! FUNKTIONIERT NICHT! SCHAFFEN WIR NICHT! WIR SIND DOCH NICHT VERRÜCKT! WER SOLL DAS DENN ALLES ZAHLEN?

Ich hörte mir das eine Stunde an, während ich das Konzept schrieb, die Umsetzung des Konzepts plante und einen Entwurf für den Fragebogen entwarf. Unser Präsident hatte mich aus den Augenwinkeln beobachtet und rief mich auf – nach vorne zu kommen und die Einzelheiten zu präsentieren. Gesagt. Getan.
Wir fanden über 50 Mitglieder aus dem Wirtschafts-Verband, die mitmachten. Manager*innen, die ich mit meinem Team für diesen Einsatz schulte. Es waren wohl die Interviewer*innen mit den höchsten Stundenlöhnen, die hier und heute ehrenamtlich auf die Strasse gingen und sehr mutig die Menschen nach ihrer Meinung befragten.

Um Mitternacht hatten wir 1.037 Interviews geschafft. Alle von meinen Forscherkollegen und mir kontrolliert. Alle perfekt. Es war ein harter Job – aber selten habe ich ein Team von fast 100 „Mitarbeiter*innen“ so begeistert arbeiten gesehen.

Am nächsten Morgen wurde noch einmal kontrolliert. Und dann gingen die Fragebögen ins Rechenzentrum zur Uni. Ich schrieb dazu einen Bericht für die Präsentation. Mein Team zeigte einen bewundernswerten Einsatz. Und so konnte ich meiner Assistentin auch nicht die Bitte abschlagen, die Ergebnisse beim OB präsentieren zu dürfen.

Der OB schien sehr zufrieden. Und so wanderten unsere Ergebnisse weiter „nach oben“. Und so wurde aus unserer Idee der Beweis, dass die Menschen diese Verbesserung ihres Alltags wirklich wollten.

Schliesslich wurde aus dem Beweis ein Gesetz in Deutschland, das jedem Menschen den Alltag etwas besser macht. Zur Freude der Menschen.
Nein, so faszinierend wie ein Picasso ist dieses Gesetz nicht.

Aber es erleichtert seitdem allen Menschen ihr Leben. Und das Tag für Tag in Deutschland.

Wenn Sie Unternehmer*in sind: Gründen Sie einen Think Tank mit Ihren Hochbegabten und allen, die mutig sind und gross denken und handeln können. Dann sind Sie nicht nur Ihre Probleme los. Sie haben auch die Chance, die Welt ein bisschen besser machen zu können.

Was sagte John F. Kennedy in seiner Antrittsrede am 20. Januar 1961 in Washington, D.C.:

„Fragt nicht, was euer Land für euch tun kann - fragt, was ihr für euer Land tun könnt (…) fragt, was wir gemeinsam tun können für die Freiheit des Menschen.“ [1]

Lilli Cremer-Altgeld
Mobil 0049 1575 5167 001





Meine persönliche Einführung in die Hochbegabung

Wenn Sie sich die Frage stellen: „Wie finde ich heraus, ob ich hochbegabt bin?“ – dann werden Sie hier Antworten finden. Ich habe die Informationen davon abhängig gemacht, wie gesichert Sie wissen wollen, ob Sie hochbegabt sind. Deshalb meine Frage an Sie: „Wie GESICHERT wollen Sie wissen, ob Sie hochbegabt sind?“

Meine Antworten lassen sich in drei Kategorien einteilen:

Sicherheitsstufe 1: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“ – hier können Sie mal schnuppern, wie Hochbegabte so ticken.

Sicherheitsstufe 2: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“ – hier bekommen Sie Tipps, was Sie tun können, um herauszufinden, ob Sie tendenziell hochbegabt sind.

Sicherheitsstufe 3: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“ – Adressen. Hier können Sie sich zum IQ-Test anmelden. Das Ergebnis des IQ-Test sagt Ihnen, wie hoch Ihr IQ ist. Ist er über 130 Punkte, sind Sie hochbegabt. Über 145 Punkte sind Sie höchstbegabt.

Aber was ist überhaupt Hochbegabung?

Die Antwort ist einfach. Treffend hat sie einmal der Psychologe Dr. Jürgen vom Scheidt so beantwortet: „Es ist das intellektuelle Potenzial von jemandem, der in einem der gängigen und anerkannten Intelligenztest einen IQ-Wert von 130 Punkten und mehr erzielt. Dies betrifft, streng genommen, 2,27 Prozent der Bevölkerung.“ http://www.hyperwriting.de/loader.php?pid=276 Stand: 20.09.2015

Und was ist HÖCHSTBEGABUNG?

Ganz einfach. Dr. Sylvia Zinser schreibt: „Ist der IQ über 145 so spricht man von Höchstbegabung.“ http://zinser.no-ip.info/~szinser/gifted/faqhg.htmlx Stand: 19.09.2015

Allen Hochbegabten und Höchstbegabten empfehle ich das informative, spannende und vergnügliche „Sylvia Zinser's Sammelsurium“ http://zinser.no-ip.info/~szinser/ Stand: 19.09.2015 Hier erfahren Sie nicht nur etwas über den IQ, sondern auch über „Brot, Schwaebische Traeubleskuchen sowie über diverse Weihnachtsplätzchen“ http://zinser.no-ip.info/~szinser/backen.htmlx Stand: 19.09.2015

Sicherheitsstufe 1: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“

Man sagt oft von Hochbegabten: „Die haben eine 1 (Bestnote) in Mathe – können aber ihre Schuhe nicht richtig zubinden“. Soll heissen: das Denken funktioniert (in bestimmten Bereichen) ausgezeichnet – aber im Alltäglichen kommen sie mit bestimmten Situationen nicht gut zurecht. Nach meinen Erfahrungen ist diese Aussage für einige Hochbegabte wirklich sehr zutreffend – für andere weniger bis gar nicht.

Ich kenne das aus eigener Erfahrung. Bei meinem Mathelehrer hatte ich so gut wie immer eine 1. Allerdings hatte ich auch eine Mathelehrerin. Sie war eher der Typ „Geschichtenerzählerin“. Sie sprach gerne über ihre Lieblingsrezepte, ihre Backkunst und ihren Hund. Ich war so damit beschäftigt, herauszufinden, was das mit Arithmetik zu tun hatte, dass ich ihr, wenn es denn mal was zu rechnen gab, kaum noch folgen konnte.

Meine Noten in Mathe lagen bei ihr im Mittelfeld. Und ich war richtig dankbar als der in meinen Augen „richtige“ Lehrer kam. Der mir Mathe so erklärte, dass ich es verstanden habe. Ich machte Überstunden in Mathe und liess mir extra Hausaufgaben geben. Nein, ich war keine Streberin. Ich hatte einfach Spass an Problemlösungen. Aber wenn ich meine Strickjacke zuknöpfen sollte – da gab es Stress für mich. Jedenfalls dieser Lehrer schickte mich zum Schulpsychologen, der mich positiv auf Hochbegabung testete. Da er sagte: „Du darfst mit niemandem darüber reden, dass Du diesen IQ von … hast.“ – dachte ich: vielleicht ist es eine Krankheit oder sonst wie ansteckend. Ich habe nie darüber gesprochen. Erst vor gut zehn Jahren habe ich mich in meiner Familie geoutet.

Meine Kollegin Alexandra in unserem Markt- und Sozialforschungs-Institut war da ähnlich unterschiedlich in ihrer Mathe-Begabung. Obwohl sie ein echtes Mathe-Genie ist, gab es auch für sie Grauzonen. Normalerweise hörte sie von einer Aufgabe oder schaute auf das Papier. Und schwupp – schon hatte sie die Lösung. Manchmal trat sie einen Wettstreit mit unserem Computer an. Nicht immer war unser PC der Gewinner. Doch dann gab es für sie echte Herausforderungen: Wenn sie ohne Hilfsmittel Prozent rechnen sollte, versagte sie fast jedes Mal. Nicht mal 10 Prozent von 100 konnte sie richtig errechnen. Allein bei dem Wort „Prozentrechnen“ driftete sie immer ab. Im Laufe der Zeit wurde es allerdings besser.

Ich will damit sagen: Nicht alle Hochbegabte sind Mathe-Genies. Nicht alle Mathe-Genies sind fehlerlos. Tröstlich ist, was Albert Einstein einmal über Mathe gesagt hat: „Mach' dir keine Sorgen wegen deiner Schwierigkeiten mit der Mathematik. Ich kann dir versichern, dass meine noch größer sind.“

Mit anderen Worten: Nicht jeder Hochbegabte glänzt in Mathe. Eine Klientin von mir war die Vorgesetzte der ehemaligen Lehrerin eines Fußballnationalspielers (Weltmeister!). Er hatte wenig Interesse an Zahlen und sagte bereits in jungen Jahren zu der Lehrerin: „Warum soll ich Rechnen lernen? Ich werde mal ein berühmter Fußballspieler. Und dann kann ich mir so viele Rechenkünstler leisten wie will.“ Die Lehrerin staunte. Doch der Junge hatte Recht. Er ist hochbegabt UND hochsensitiv.

Hochbegabte können sehr gut oder gut rechnen – oder auch gar nicht. Was sind nun die die typischen Eigenschaften von Hochbegabten?

Gehen wir noch einen Schritt zurück. Genauso wie nicht alle Kölner lustig sind, nicht alle Münchner Lederhosen tragen und nicht alle Hamburger einen Segelschein haben – so sind auch nicht alle überdurchschnittlich intelligenten Menschen so oder so.

Nehmen wir einmal eine Einteilung der Hochbegabten vor, die Jürgen vom Scheidt heraus gearbeitet hat. Er unterteilt fünf (drei plus zwei) Gruppen. Selbstredend gibt es noch andere Kategorien – dazu komme ich noch.

Scheidt zufolge gibt es – vereinfacht ausgedrückt – bei den Hochbegabten, abhängig von dem Kriterium „Erfolg in der Schule, im Beruf“ folgende Trias:

O Ein Drittel, die ihre „Begabung erfolgreich verwirklicht“ haben. Sie sind Topmanager/innen, Spitzensportler/innen, Unternehmer/innen, Künstler/innen, Wissenschaftler/innen usw. Sie wurden z.B. von der „Studienstiftung des Deutschen Volkes“ oder anderen Institutionen erkannt und gefördert.

O Ein Drittel sind sogenannte „Latente“: Sie spüren, ahnen oder wissen um ihre Begabung, kommen aber nicht so einfach aus dem Quark. Die Psychologin und Expertin für Hochbegabung, Andrea Brackmann, schreibt in ihrem zweiten Buch, dass „Hochbegabung Mut erfordere“ http://www.klett-cotta.de/buch/Klett-Cotta_Leben!/Ganz_normal_hochbegabt/13265 Stand: 19.09.2015. Bei dieser Gruppe verstehen wir, warum das so ist.

O Ein Drittel sind nach Scheidt die „Underachiever“ („Minderleister“). Sie könnten schon – wollen aber (noch?) nicht erfolgreich sein. Speziell zu Minderleister/innen in der Schule noch einmal Sylvia Zinser: Ihr Geheimtipp J: MOTIVIEREN! http://zinser.no-ip.info/~szinser/gifted/faqhg.htmlx Stand: 19.09.2015

So, das sind unsere drei Gruppen – zwei kleine Gruppen fehlen noch:

O Es sind die „Entgleisten“: sie sind erfolgreich – aber auf kriminelle oder soziopathische Weise.

O Dies sind die Höchstbegabten wie etwa Einstein und Freud.

Alle Infos zu dieser Einteilung in der Veröffentlichung von Jürgen vom Scheidt: http://www.hyperwriting.de/loader.php?pid=276 Stand: 19.09.2015

Wer bis hierher tapfer durchgehalten hat – wird jetzt belohnt. Jeder Mensch, der denkt: Analyse? Mathe? Logik? Das sind jetzt nicht so meine Stärken. Ich bin eher der Musiker, die Malerin, der Tänzer, die Fotografin, der Praktiker. Gut so. Es gibt insgesamt sieben Felder der Hochbegabung: mein Bruder Helmut glänzt z.B. durch „Praktische Intelligenz“: Er erkennt sofort im realen Leben wie man es richtig zumindest aber besser machen kann. Mir bleibt diese Art zu denken verborgen. Zumindest müsste ich viele Bücher lesen, um diese Dinge verstehen zu können. Mir fällt es schon schwer genug, meine Jacke richtig zuzuknöpfen.

Prof. Werner Stangl zitiert Prof. Kurt Heller auf seinen Seiten zu den Themen „Intelligenz und Hochbegabung“ wie folgt:

„Nach Heller (2000) gibt es folgende Begabungsfaktoren:

O Intellektuelle Fähigkeiten (sprachliche, mathematische, technisch-konstruktive, abstrakte, begrifflich-logische, etc. Fähigkeiten)

O Sozial-emotionale Fähigkeiten

O Musisch-künstlerische Fähigkeiten

O Musikalische Fähigkeiten

O Kreativität (sprachliche, mathematische, technische, gestalterische, etc. Kreativität)

O Psychomotorische Fähigkeiten (Sport, Tanz, etc.)

O Praktische Intelligenz“

http://www.stangl-taller.at/TESTEXPERIMENT/testintelligenzhochbegabt.html Stand: 19.09.2015

Wir sehen: Hochbegabung ist spannend. Und es wird noch spannender.

Nehmen wir noch eine weitere Differenzierung vor: Hochbegabte sind oft auch hochsensibel und/oder hochsensitiv. Ihre Sinne sind stärker ausgeprägt. Zum einen (hochsensibel) sind ihre normalen Sinne (hören, riechen, schmecken, fühlen, sehen) intensiver (Künstler/innen, Star-Köch/innen, Parfümeur/innen – einige haben auch ein begnadetes „Fingerspitzengefühl“ wie etwa Handerker/innen und Chirurg/innen u.a.m.). Und/oder andererseits ist ihre Wahrnehmung (hochsensitiv) tiefer: Diese Hochbegabten haben den sechsten (hellhörig), siebten (hellfühlig) und achten (hellsichtig) Sinn wie etwa Goethe, Einstein und Leonardo da Vinci. Wie sagte Albert Einstein?: „Was wirklich zählt, ist Intuition.“

Bei einer solchen Differenzierung: Wo gibt es da noch Gemeinsamkeiten?

Ich fange mal mit den Tendenzen an: Diejenigen, die in der ‚Flüchtlingszeit im Sommer 2015‘ kreativ, beherzt und schnell helfen – können hochbegabt sein. Denn diese Merkmale findet man oft unter den hohen IQ’lern. Der eine organisiert geschickt, die andere übersetzt, der nächste weiss, wer wo wie helfen kann. Schnelligkeit ist für Hochbegabte so natürlich wie das Atmen. Klar, dass nicht jede/r in allen Bereichen gleich schnell ist. Wenn Sie wüssten, wie lange ich brauche, um meine Jacke zuzuknöpfen …

Doch weiter: Gerechtigkeit für jedermann ist stark vorhanden bei den Begabten ebenso so wie vernetztes Denken und Handeln. Nach Andrea Brackmann gehört das „Mehr von allem“ oft zum Repertoire. Wie etwa das „Erfassen kompletter Zusammenhänge“, „Auffinden vielfältiger Lösungswege“ sowie „hohes Einfühlungsvermögen“. Wie gut, dass Hochbegabte oft nur wenig Schlaf brauchen (4 bis 6 Stunden).

Selbstredend gibt es nicht nur diese sonnigen Seiten der hochtalentierten Menschen. Ihre Schattenseiten sind nicht nur für die Beteiligten selbst unangenehm: Oftmals übersteigerte Konzentration bei den SPEZIALISTEN auf ein Spezialthema (Musik oder Sport oder Politik oder Finanzen oder Sprachen oder oder oder). Bei den Generalisten ist es etwas anders: Hier überwiegt die Vielseitigkeit, die sich in mehreren Berufen und Hobbies zeigt. Bei beiden wird die Familie, werden Freund/innen und Kolleg/innen schon mal etwas vernachlässigt. Denn Hochbegabte sind oft Perfektionist/innen. Und es kann mal etwas länger dauern bis sie mit ihrer Arbeit zufrieden sind.

Routine ist ihnen oft ein Gräuel. Manche finden kreativ alternative Wege um dieser Routine immer wieder auszuweichen. Andere plagen Zweifel und Gewissensbisse. Geduld ist ebenfalls keine Stärke der Hochbegabten. Auch nicht begabt sind diese Menschen, wenn es um „einfache Aufgaben“ geht. Die Hochtalentierten sind zumeist empfindlich. Empfindlich gegenüber Lärm, Licht und manche auch gegenüber Berührungen.

So ist es zu verstehen, dass Hochbegabte an bestimmten „Allergien“ leiden, die Andrea Brackmann in ihrem Buch so schlüssig schreibt. Es sind die „hässlichen Worte“ für Hochbegabte wie etwa „Betriebsausflug“, „Stammtisch“, „Schützenfest“, „Höflichkeitsfloskeln“, „Grossraumbüro“. http://www.klett-cotta.de/buch/Klett-Cotta_Leben!/Ganz_normal_hochbegabt/13265 Stand: 19.09.2015

Hingegen lieben Hochbegabte oft „Querdenker/innen“, „Nobelpreisträger/innen“, „Verarbeitungsgeschwindigkeit“, „Freiheit“, „Endlos-Fragen“, „Monologe“ sowie „Spezielle Themen wie etwa die frühkindliche Entwicklungsphase des Kaiserschnurrbarttamarins, die Pflege der Araukarie oder den „Compte rendu au Roi“ des Finanzminister Jacques Neckers in der Zeit der Französischen Revolution.

Für Hochbegabte ist das alles „normal“ – während das „Normale“ schon sehr schwierig sein kann. Viele habe da ein Selbstverständnis wie Albert Einstein: "Ich habe keine besondere Begabung, sondern bin nur leidenschaftlich neugierig."

Wenn Sie das alles gelesen haben, sind Sie an Hochbegabung interessiert. Die anderen haben eh längst das Weite gesucht. Vielleicht wollen Sie genauer wissen, ob Sie hb sind – „hb“ ist das Kürzel bei den „HB“ (Hochbegabten) für „hochbegabt“. Und deshalb gehen wir jetzt auf die nächste Stufe über.

Sicherheitsstufe 2: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“

Ich habe hier IQ-Informationen zusammen gestellt, die Ihnen eine Tendenz Ihrer Begabung aufzeigen können.

O Den ersten IQ-Test habe ich 2005 in der Veröffentlichung von Jürgen vom Scheidt gefunden http://www.hyperwriting.de/loader.php?pid=276 Stand: 19.09.2015. Obwohl ich mit einiger Skepsis an diese Fragen heranging – mein Test beim Schulpsychologen hat damals mehr als eine Stunde gedauert, wie soll man in wenigen Minuten ein ähnliches Ergebnis erzielen können? – war die Antwort jedoch fast exakt dieselbe, die ich Jahre zuvor vom Psychologen in meiner Schule erhalten habe. Chapeau! Für den Autor.

O Auch wenn mir die Headline sehr plakativ erscheint – diese Information verdient ebenfalls Ihr Interesse: „IQ-Test: Gehören Sie zur Grips-Elite?“ http://www.spiegel.de/unispiegel/wunderbar/iq-test-gehoeren-sie-zur-grips-elite-a-505427.html Stand: 19.09.2015

O Ein weiterer Test, der Ihnen tendenziell Informationen über Ihre Begabung geben wird, ist von der „Süddeutsche Zeitung“: „Der kostenlose IQ-Test online mit Sofortergebnis http://iqtest.sueddeutsche.de/ Stand: 19.09.2015

O “MENSA” ist das grösste Netzwerk für Hochbegabte. Der Mensa Online-Test ist jedoch eher ein „Spiel“ als ein zuverlässiges Instrument der Begabungsanalyse. Wenn Sie Lust haben: Spielen Sie mal. Mensa weist ausdrücklich darauf hin: „Sie sollten die Ergebnisse dementsprechend nicht allzu ernst nehmen.“ https://www.mensa.de/online-iq-test-raetsel/mensa-online-test/ Stand: 20.09.2015

O Und hier ist die englische Variante von Mensa International: „Mensa Workout“ https://www.mensa.org/workout/quiz/1 Stand: 20.09.2015

Sicherheitsstufe 3: Sicherheit im Hinblick auf das Wissen „Ich bin hochbegabt“

Wenn Sie jetzt bereit sind und der Stunde der Wahrheit – dem wirklich und wahrhaftigen IQ-Test – ins Auge blicken wollen… Dann melden Sie sich an – zum anerkannten IQ-Test.

Meine Empfehlungen:

O Mensa. Der Test dauert 90 Minuten, kostet 49 Euro und wird in 80 Städten in Deutschland durchgeführt. Getestet werden Menschen ab 14 Jahre. https://www.mensa.de/intelligenztest Stand: 20.09.2015

O Bei einer Psychologin – einem Psychologen – aus dem Expertenkreis Hochbegabung/Potentiale der Sektion "Freiberufliche Psychologen" im Berufsverband Deutscher Psychologinnen und Psychologen (BDP) e.V. den IQ-Test machen http://www.die-hochbegabung.de/german/index.html Stand: 20.09.2015

O Sie fragen im Familienkreis, bei Freund/innen oder in der Schule/Universität nach einer Empfehlung für den IQ-Test.

Ich drücke schon mal die Daumen!

Für das Campus-Radio Bonn interviewte ich einmal die höchstbegabte „First“ Lady – Gründungsmitglied – von Mensa Deutschland, Dr. Ida Fleiß. Dabei lernte ich eine kluge, warmherzige und höchst kreative Dame kennen, der es „zu simpel“ war, ihren „Doktor“ in Europa zu machen. Kurz entschlossen reiste sie nach Asien, lernte die Sprache und schaffte auf Anhieb ihre Promotion. Sie konnte schon immer weit und um die Ecke denken.

Als ich sie jedoch fragte: Haben wir schon für jede Intelligenz ein angemessenes Messverfahren – will sagen: Können wir schon jede Begabung testen – sagte sie traurig: Nein. Daran müssen wir noch arbeiten.

Ich möchte diese Erkenntnis all denen mit auf den Weg geben, die sich zwar für hochbegabt halten, aber in einem der IQ-Tests nicht die Schallgrenze von 130 durchbrechen konnten.

Allen Menschen, die Spass an Mathe haben – ja, die speziell eine Vorliebe für das Kopfrechnen hegen, empfehle ich die Seite eines Freundes von Ida Fleiss: Dr. Dr. Gert Mittring http://www.gertmittring.de Gert Mittring ist der amtierende Weltmeister im Kopfrechnen.

© Lilli Cremer-Altgeld, 2015